"Je comprends le désir ardent des croyants à recevoir la communion en ce temps de Pâques. Je voudrais simplement vous rapporter l’exemple de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus à ce sujet. Début juin 1897, alors qu’elle est déjà gravement malade – quatre mois avant sa mort – elle déclare à une de ses sœurs : « Si vous me trouviez morte un matin, n’ayez pas de peine : c’est que Papa le bon Dieu serait venu tout simplement me chercher. Sans doute, c’est une grande grâce de recevoir les Sacrements ; mais quand le bon Dieu ne le permet pas, c’est bien quand même : tout est grâce. »" Mgr François Jacolin, évêque de Luçon