Prier

                   
            L' office du jour               
       office des Laudes avec les Dominicains de Bordeaux            

    Toussaint 2023

(Vous pouvez télécharger le livret)











Avent dans la ville 




Prions pour l’Église de France avec Sainte Catherine de Sienne 

L’Église de France vit une succession de crises provoquées par la révélation des abus. Des jeunes, des personnes en situation de dépendance psychologiques ou spirituelles ont été trahi, violentés, traumatisés par des prêtres. On apprend maintenant que des évêques ont eu un comportement déplacé ou pire. Les fidèles découvrent ces agissements avec effroi, honte et incompréhension. La confiance envers les pasteurs est ébranlée.

En ce début d’avent, nous vous proposons de prier avec nous pour l’Église. « La vérité rend libre » Jean 8, 32. Prier l’Esprit Saint pour qu’elle garde sa vocation d’annoncer le Christ qui rend libre, pour qu’elle soit le sel de la terre, pour qu’elle retrouve l’élan missionnaire et qu’elle rayonne par la sainteté de tous les baptisés.

Inscrivez-vous sur Avent dans la ville pour recevoir chaque jour la neuvaine par mail : cliquez ici

Du lundi 28 novembre au mardi 6 décembre 2022, vous recevrez, chaque jour dans votre mail de méditation de la retraite de l’avent, le lien vers la prière de neuvaine.

En grande communion dans la foi et l’amour. L’Église a besoin de notre prière !
frère Philippe Verdin, op



Visitez >>> LE MOOC   
         NOUVEAU : Le MOOC revient prochainement 
À partir de septembre 
"Connaître Jésus" nouvelle formation du Mooc

La communion spirituelle



lorsque nous sommes empêchés de communier sacramentellement

Prière inspirée de St Alphonse de Liguori Seigneur Jésus, je crois en ta présence dans le Saint Sacrement. Je t’aime plus que toute chose et je désire que tu viennes aujourd’hui encore en mon âme. Comme bien d’autres chrétiens dans le monde, je ne peux te recevoir sacramentellement aujourd’hui dans mon Cœur. Eloigné(e) de ma communauté, ou en attente de Prêtre,
je suis pourtant avec chacun de mes frères et sœurs,
disponible aujourd’hui à Ta Parole. Je sais que Tu es là, véritablement présent, à l’écoute de la clameur du monde. Viens me visiter spirituellement. Viens me parler comme à chacun de tes amis. Tiens-moi dans la communion de tous les saints. Tiens-moi uni(e) à toute l’Eglise du ciel et de la terre Je veux m’unir à toi tout entier(e). Ne permets pas que je sois séparé de toi. Amen.



 
Génial à visiter absolument !!!




  • JOURNÉE MONDIALE de PRIÈRE des FEMMES : Cette journée est la plus grande initiative œcuménique de femmes chrétiennes de toutes traditions, elle est célébrée chaque année dans plus que 170 pays. Vous êtes – toutes et tous -, invités le vendredi 4 mars à 18h30 en l'église des ESSARTS. Un temps de prière préparé, cette année, par les femmes d’Angleterre, du Pays de Galles et d’Irlande du Nord.

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Jésus avait 7 ou 8 ans et demanda à sa mère : « Maman, raconte-moi l’histoire des
mages et de l’étoile. » Elle lui fit une longue réponse, selon son
habitude d’enseigner son fils quand Joseph était occupé par des clients. –
Prenez patience frères et sœurs : Marie a beaucoup de choses à nous dire,
car elle méditait tout en son cœur. – Marie commença ainsi : « Ecoute
bien, mon fils, c’est une histoire vraie. Tu étais tout petit, et nous étions
encore, ton père et moi, à Bethléem. Voici que frappent à la porte des mages.
Ils venaient de très loin, du pays où le soleil se lève, du pays d’Abraham
notre père, à qui Dieu, à cause de sa foi, a promis une descendance aussi vaste
que les étoile du ciel (Gn 26,4). C’étaient des grands savants, et dans le
ciel, ils ont vu une étoile, signe d’un événement cosmique. Peut-être ont-ils
eu un songe, une révélation… Ils avaient lu dans nos écrits les plus anciens,
la Tora, l’histoire de Balaam, le prophète païen comme eux, qui avait annoncé
qu’une étoile se lèverait en Israël, un roi qui dominerait des peuples nombreux
(Nb 24,7.17)… Ils sont partis dans la nuit, sur le sentier d’Abraham, pour
honorer le roi des Juifs. Ils représentaient le désir de Dieu, de la part de
toute l’humanité… Arrivés à Jérusalem, ils sont parvenus aux conclusions de
leurs recherchent en consultant les spécialistes des Ecritures Saintes :
le roi des Juifs - que nous appelons, nous, Messie, ou Christ - devait naître à
Bethléem, la cité de David. – Ton père Joseph est descendant de David. Et à
cause du recensement impérial, nous étions à Bethléem quand tu es né. –
Aussitôt, les mages sont venus chez nous sans hésitation, car l’étoile leur
était à nouveau apparue. Sans se scandaliser de la bassesse du lieu et de notre
condition sociale, ces étrangers t’ont adoré comme roi et Créateur des étoiles.
Ils ont offert leurs présents : l’or, l’encens et la myrrhe… Ils étaient
magnifiques ces mages, vêtus comme des rois. Ils jubilaient de joie, parce que
dans les ténèbres de notre époque, ils t’avaient reconnu comme la vraie étoile,
le vrai soleil, le Lumière du monde, le Fils de Dieu… Et moi aussi je jubilais,
car je me souvenais de l’oracle d’Isaïe sur Jérusalem (1ère lect., Is 60, 1-6)…
et nous formions à ce moment-là, nous et les mages avec toi, la nouvelle Jérusalem,
remplie de la gloire du Seigneur. Isaïe voyait ce jour quand il
s’écriait :

… sur toi se lève le Seigneur, sur toi sa gloire apparaît.
Les nations marcheront vers ta lumière, et les rois, vers la clarté de ton aurore.
(…) vers toi viendront les richesses des nations
(…) Tous les gens de Saba viendront, apportant l’or et l’encens,
ils annonceront les exploits du Seigneur.

Voilà la grande manifestation, l’Epiphanie du Seigneur : ces mages, étrangers à
l’Alliance de Dieu, ont été conduits par Dieu jusqu’à toi, mon fils, lumière du
monde. Ces mages étrangers, et non les théologiens de Jérusalem, ont ouvert nos
cœurs à l’espérance, car au-delà de leur démarche personnelle, ils
représentaient les nations qui ne connaissent pas le vrai Dieu et son Fils
Jésus Christ, ils représentaient tous les peuples qui « marcheront vers ta
Lumière ».

Et toi, mon fils, tu jubilais aussi : tu t’es mis à gazouiller… et tu leur as ouvert
les bras, tu ouvrais tes bras au monde entier… Eux, ensuite, rassérénés et
fortifiés, sont partis proclamer la merveille aux peuples qui ne te
connaissaient pas. »

 









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Il y a un lien à faire entre l’Eucharistie et les personnes fragiles.

L’hostie n’est finalement qu’un vulgaire morceau de pain, très humble.
Il faut qu’elle soit brisée pour qu’elle porte du fruit, qu’elle laisse jaillir la vie à l’image des brisures de nos vies… Si vous dites que vous aimez l’Eucharistie et pas les plus fragiles, les pauvres, vous n’aimez pas l’Eucharistie.
Les brisures de vie de ces personnes sont le lieu de la présence du Christ, comme l’hostie brisée.
Père Christian Mahéas curé de Saint-Jean-Baptiste de Belleville (Paris), membre de l’Arche et conseiller spirituel de l’OCH.

"Jésus, Viens demeurer en nous et dans nos communautés
Comme Tu as demeuré d’abord en Marie.
Elle fut la première à t’accueillir en elle.
Aide-nous à être toujours debout, avec elle, au pied de la Croix,
Proche des crucifiés de notre monde …"

"Extrait de la prière de Foi et Lumière"

Un itinéraire de foi et de fréquentation de l’adoration eucharistique


Je vais vous raconter mon histoire et la joie que j’ai, maintenant depuis 4 ans de m’être réconcilier avec le Christ. 

J’ai grandi dans un environnement familial où mes croyances étaient principalement basées sur la religion chrétienne mais aussi sur des pratiques de sorcellerie qu’un ami de mes parents d’origine africaine exerçait. Vers l’âge de mes 6 ans, ma mère m’a présenté cet homme comme étant être : « un intermédiaire de Dieu ». 

Pour ma mère, Dieu avait mis sur le chemin de mes parents cet homme pour les aider à
surmonter leurs problèmes. Mes parents versaient une somme d’argent à cet homme en contrepartie de nous assurer une sécurité et de veiller sur nous. 

Je croyais en Dieu et à Jésus, mais lorsque j’accompagnais mes parents à la messe ou lisait un extrait de la bible illustrée pour enfant, je sentais quelque chose, comme une petite voix à l’intérieur de moi, qui m’empêchait de me concentrer. Cette petite voix me disait que c’était inutile de prier et de penser à Dieu car l’ami de mes parents faisait le travail à notre place. 

En 2012, l’année de mes trente ans, j’ai eu comme une révélation. J’avais compris que depuis mon enfance, j’avais été sous l’emprise de cet homme. En effet, je n’avais aucune liberté de pensée. Par exemple, lorsque j’avais des choix personnels ou professionnels (mon orientation scolaire), je me fiais à l’opinion de cet homme. 

Suite de cette prise de conscience d’avoir été manipulé pendant toute mon enfance et de mon adolescence, j’ai préféré prendre du recul vis à vis de ma famille en coupant les liens avec eux. Je ne comprenais plus ma mère. Ne sachant plus à qui je devais faire confiance et qui croire, j’ai, aussi rejeté l’église. Ainsi, les cinq années qui ont suivi, je me suis fiée qu’à mon propre instinct. Mais, très vite, je me suis aperçu qu’il n’était pas possible de vivre sans avoir une croyance. Pour cela, je me suis beaucoup rapprochée de la science. Je passais tous mes temps libre à me documenter dans des livres pour obtenir des réponses à mes questions sur le sens de ma vie. 

Mais, un jour du mois de février 2017, j’étais plongée dans mes réflexions et au moment où j’ai trouvé une réponse à mes questions, j’ai entendu une voix me dire : « tu comprends mieux ce qui se passe maintenant ? » C’était une voix de femme. À partir de ce moment-là j’ai compris que sans l’aide de Dieu, il me sera impossible de trouver des réponses à mes questions. 

Quelques jours plus tard, j’ai entendu de nouveau cette voix me dire: « Va à l’église ». 

Rapidement, je suis allée à l’église Saint Louis à La Roche Sur Yon. Après avoir rencontré un prêtre, j’ai peu à peu fait la connaissance des paroissiens. J’ai assisté à plusieurs rencontres dont les jeunes pro, qui m’ont parlé, par la suite, de l’adoration. 

Au départ, je n’osais pas aller toute seule à l’adoration et je n’ai pas osé le dire. J’attendais qu’une amie vienne avec moi. L’adoration se passe dans une petite chapelle où est exposé le tabernacle. C’est un lieu de silence où chacun peut prier et se confier à Dieu. Très vite, j’ai compris que ce lieu est une opportunité de passer un moment unique avec nous-même, avec notre esprit saint. À chaque fois que je me rends à l’adoration, c’est pour remercier le Seigneur mais, c’est aussi le moment de lui confier mes pensées. Contrairement à ce que j’ai vécu dans mon enfance, où malheureusement cet homme, avec un simple regard ou une parole pouvait m’influencer sur mes décisions, le Christ, quant à lui, m’écoute et ne porte aucun jugement. En effet, quand je dois prendre une décision, je n’ai personne en face de moi, qui pourrait me faire douter ou me réconforter dans mes choix. Je comprends quand l’église dit que le seigneur nous laisse libre. En effet, en présence du Seigneur, nous gardons notre liberté de pensée et nous sommes libres de suivre notre propre instinct, guidé avec l’aide de Dieu, par l’esprit sain. 

Lorsque qu’une paroissienne m’a dit : « il faut toujours veiller à avoir une présence à l’adoration afin de ne pas laisser Jésus tout seul », j’ai eu comme un déclic. L’adoration à la Roche sur Yon est perpétuelle : il y a toujours une présence
24h/24 et 7 jours sur 7. Je me suis inscrite pour faire une heure par semaine, la même heure. C’était mon rendez-vous avec le Christ. Puis, le bonheur d’avoir une adoration ouverte et accessible à tout moment permet d’y aller prier quand on le souhaite. 

L’adoration permet de me déconnecter de la vie quotidienne. Nous ne sommes pas dérangés par les bruits extérieurs et intérieurs de notre maison. Nous sommes face au Christ pendant une heure et c’est notre temps à nous. 

Aujourd’hui, Dieu est ma source, mon seul point de repère. Le fait de le retrouver sur le temps d’adoration est un vrai bonheur.


Annie




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 Messe en direct diffusée sur KTO célébrée par le pape au Vatican chaque matin à 7H00

Ou sur les chaines de TV internet
Ou France 2 : Le jour du Seigneur 


Le pape François lancera ce samedi 1er mai un marathon de prière afin de demander à Dieu la fin de la pandémie. Il doit durer un mois et passer par une trentaine de sanctuaires à travers le monde.
 Voici comment y participer.: Lien








Méditation du dimanche: nous habitons la même maison 
                                         5 ème dimanche                   
                                         4 ème dimanche                   
                                    3ème dimanche              
                                        2ème dimanche                     
                                   1er dimanche                   
             L' ORAISON                                       
        Journée Mondiale de Prière        le 5 mars 2021    

         L' office du jour                  

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CONTE DE PÂQUES : LA BELLE HISTOIRE DU GRAIN DE BLÉ

► Télécharger la Belle histoire du grain de blé

D’après le poète danois JOERGENSEN

Le petit grain de blé est heureux, tout heureux, bien au chaud dans un gros tas de blé, tout au fond du grenier, juste un petit courant d’air qui permet de bien respirer ; jamais une goutte de pluie pour mouiller le tas de blé. Les autres petits grains sont très gentils, très polis, ce sont de très bons amis.

Aussi, quand il fait sa prière, le petit grain de blé remercie le Seigneur : « Merci, mon Dieu, je suis tellement heureux, que je voudrais que ça dure toujours ».
Mais un jour, il y a un grand bruit dans le grenier. Des hommes arrivent, avec de grosses pelles, et notre petit grain de blé, avec tous ses copains, est jeté dans une charrette. Et la charrette démarre, comme une promenade.

Au hasard des secousses, le petit grain de blé voit tantôt un coin de ciel bleu, tantôt des jolies fleurs, tantôt un papillon, ou une coccinelle...C'est vraiment joli, bien plus beau que le grenier.
Bientôt, tout le monde s’arrête, au bord d’un champ bien labouré. Sans ménagement, les hommes jettent le tas de blé dans un coin du champ. ça fait un choc ! Mais c’est frais, c’est bon...Le grain de blé a le temps de faire une petite prière : « Mon Dieu je voudrais bien rester là, dans la fraîcheur, le plus longtemps possible... »

Mais voici que le grain de blé s’enfonce dans la terre...c’est tout noir...c’est humide...le petit grain de blé étouffe...le froid pénètre au plus profond de lui-même. Il fait une dernière prière : « Mon Dieu c’est fini, je vais mourir... »

Mais voici qu’il se passe quelque chose d’extraordinaire ! Le petit grain de blé se sent traversé par une force immense...ça éclate en lui de partout...et voilà qu’il devient une petite pousse de blé, puis une tige, elle monte la tige, elle monte...elle perce la croûte de terre, et elle devient un épi de blé magnifique, avec au moins soixante petits grains de blé ! Et tous ensemble ils disent leur prière : Merci, mon Dieu, c’est toi qui nous donnes la vie ! »
Amen, amen, je vous le dis : si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il porte beaucoup de fruit. Jean12, 24
©AELF
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Ce dimanche 14 mars à 15h, une nouvelle étape a été franchie dans le travail de reconnaissance des actes de pédocriminalités d'hommes d'Eglise du diocèse de Luçon. Depuis son arrivée, Mgr Jacolin s'est attaché à faire la lumière sur ces affaires qui secouent l'histoire vendéenne de l'Eglise. Après une reconnaissance des faits et des abus subis par les victimes, puis l'acte de repentance prononcé le 23 octobre 2020, c'est au tour de l'apposition d'une plaque mémorial dans la cathédrale de Luçon accompagné d'une célébration religieuse de repentance. 

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Connaissez-vous le syndrome de la pâte à crêpes ? Quand on la laisse reposer, les grumeaux remontent à la surface. C’est peut-être pour cela que nous nous agitons autant au lieu de prier : pour ne pas avoir à affronter les grumeaux de notre vie. 

« Mais c’est compliqué de prier ! » Alors rendons les choses simples : prenons un rendez-vous quotidien avec le Seigneur dans notre agenda, trouvons un beau lieu, promettons-lui une durée raisonnable et parlons-lui de notre vie, comme un ami parle à un ami. 

Chemin de Croix
MESSAGE DU PAPE 
à l'occasion de la 29ème JOURNÉE MONDIALE DU MALADE

Le pape François adresse ce message : 
"Vous n'avez qu'un seul maître et vous êtes tous frères. » 
En voici un extrait :

« ... La maladie a toujours un visage, et pas qu’un seul : il a le visage de chaque malade, même de ceux qui se sentent ignorés, exclus, victimes d’injustices sociales qui nient leurs droits essentiels. La pandémie actuelle a mis en lumière beaucoup d’insuffisances des systèmes de santé et de carences dans l’assistance aux personnes malades. L’accès aux soins n’est pas toujours garanti aux personnes âgées, aux plus faibles et aux plus vulnérables, et pas toujours de façon équitable. Cela dépend des choix politiques, de la façon d’administrer les ressources et de l’engagement de ceux qui occupent des fonctions de responsabilités. Investir des ressources dans les soins et dans l’assistance des personnes malades est une priorité liée au principe selon lequel la santé est un bien commun primordial. En même temps, la pandémie a également mis en relief le dévouement et la générosité d’agents sanitaires, de volontaires, de travailleurs et de travailleuses, de prêtres, de religieux et de religieuses qui, avec professionnalisme, abnégation, sens de la responsabilités et amour du prochain, ont aidé, soigné, réconforté et servi beaucoup de malades et leurs familles. Une foule silencieuse d’hommes et de femmes qui ont choisi de regarder ces visages, en prenant en charge les blessures des patients qu’ils sentaient proches en vertu de leur appartenance commune à la famille humaine.
De fait, la proximité est un baume précieux qui apporte soutient et consolation à ceux qui souffrent dans la maladie. En tant que chrétiens, nous vivons la proximité comme expression de l’amour de Jésus-Christ, le bon Samaritain qui, avec compassion, s’est fait le prochain de chaque être humain, blessé par le péché. Unis à lui par l’action de l’Esprit Saint, nous sommes appelés à être miséricordieux comme le Père et à aimer en particulier nos frères malades, faibles et souffrants (cf. Jn 13, 34-35). Et nous vivons cette proximité, non seulement personnellement, mais aussi sous forme communautaire : en effet, l’amour fraternel dans le Christ engendre une communauté capable de guérison qui n’abandonne personne, qui inclut et accueille, surtout les plus fragiles... »

PRIÈRE du pape FRANÇOIS

 Dieu éternel et tout-puissant, refuge de ceux qui souffrent, regarde avec compassion la détresse de tes enfants atteints par cette pandémie, soulage la douleur des malades, donne la force à ceux qui les soignent, accueille dans ta paix ceux qui sont morts. 

En ce temps d’épreuve, accorde à tous le réconfort de ta miséricorde, par Jésus, le Christ notre Seigneur.

Amen.

Tout le monde Te cherche Seigneur, 

Particulièrement dans les événements tragiques qui abîment nos vies,

les bouleversent, les malmènent 

Tout le monde Te cherche. Où es-Tu ?

Es-Tu un Dieu lointain ? Indifférent à ce qui nous blesse ?

En Jésus, Tu t’es fait proche de chacun.

En Lui Tu as souffert ce que nous souffrons.

Alors, aide-moi à croire, aide-nous à croire 

que Tu es le Dieu présent au tout de nos vies.

 Et que Toi aussi, sans Te lasser,

Tu nous cherches.

Chantal Lavoillotte


     autres Chants pour l'Avent 2020     
           Chants de Noël                
            Vidéothèque sur Noël     


Un zeste d'espérance en confinement ! - Avent dans la ville 2020


A partir du dimanche 22 novembre, Avent dans la ville vous propose une vidéo quotidienne avec une suggestion concrète, drôle ou délicate des frères Yves, Nicolas, Emmanuel, Raphaël ou Philippe pour vivre confiné la fraternité jusqu’à Noël ! Pour ne pas sombrer, pour approfondir la vie avec le Christ et en Eglise quelques soient les épreuves, inscrivez-vous gratuitement : https://bit.ly/3fiFIhH





 
Prière du Pape François qui termine l'encyclique "Fratelli Tutti  

Prière au Créateur

Seigneur et Père de l’humanité,
toi qui as créé tous les êtres humains avec la même dignité,
insuffle en nos cœurs un esprit fraternel.
Inspire-nous un rêve de rencontre, de dialogue, de justice et de paix.
Aide-nous à créer des sociétés plus saines
et un monde plus digne,
sans faim, sans pauvreté, sans violence, sans guerres.

Que notre cœur s’ouvre
à tous les peuples et nations de la terre,
pour reconnaître le bien et la beauté
que tu as semés en chacun
pour forger des liens d’unité, des projets communs,
des espérances partagées. Amen !

Prière chrétienne œcuménique

Notre Dieu, Trinité d’amour,
par la force communautaire de ton intimité divine
fais couler en nous le fleuve de l’amour fraternel.
Donne-nous cet amour qui se reflétait dans les gestes de Jésus
dans sa famille de Nazareth et dans la première communauté chrétienne.

Accorde aux chrétiens que nous sommes de vivre l’Évangile
et de pouvoir découvrir le Christ en tout être humain,
pour le voir crucifié
dans les angoisses des abandonnés et des oubliés de ce monde
et ressuscité en tout frère qui se relève.

Viens, Esprit Saint, montre-nous ta beauté
reflétée en tous les peuples de la terre,
pour découvrir qu’ils sont tous importants, que tous sont nécessaires, qu’ils sont des visages différents de la même humanité que tu aimes. Amen !

Donné à Assise près la tombe de saint François, le 3 octobre de l’année 2020, veille de la fête du ‘‘Poverello’’, la huitième de mon Pontificat.

Franciscus






Peinture de Franck David réalisée à l'occasion du Vendredi Saint 2020

Comme disait Sainte Thérèse de Lisieux : 
« Quand on peut avoir les sacrements, c’est bien ; 
quand on ne peut pas les avoir, c’est bien aussi ! »






Flasher ce Qr Code à l'entrée de l'église 
Vous retrouverez la feuille de chants
du jour, 
et d'autres textes pour l'assemblée

ou     ICI 



HOMÉLIE DE LA MESSE DU 19 JUILLET 2020 À BUGLOSE

Le 19 juillet 1838, le bienheureux Père Louis-Edouard Cestac, fondateur des Servantes de Marie, est venu ici à Buglose, demander de l’argent pour son œuvre auprès des filles abandonnées de Bayonne. Il a obtenu cette réponse dans son cœur : « Ne me demande que mon esprit ». Le 19 juillet 1846 il vit ici une grande croix qui lui a été proposée. Le 19 juillet 2020, nous le savons tous, notre humanité est un mélange de bien et de mal, de grâce et de péché, de bon grain et d’ivraie, nous rappelle l’évangile qui vient d’être proclamé. Dans cette basilique, nous célébrons les 400 ans de la découverte de la statue de Notre-Dame de Buglose. Cachée dans les marais pour la protéger des guerres de religion, elle a donc été découverte dans la vase en 1620. Aujourd’hui, elle est dans la lumière de cette basilique qui brille de tous les projecteurs pour cette messe télévisée. C’est ainsi que des générations de pèlerins, comme Saint Vincent de Paul, sont venus ici pour obtenir une grâce de paix et de lumière. Ce sanctuaire constitue un havre d’espérance, d’unité, alors que notre monde semble si souvent divisé.

Les deux semeurs de la parabole de l’évangile ne sont pas à égalité : l’un a semé le bon grain en plein jour, son ennemi la nuit, lorsque les gens dormaient. Jésus ne nous suggère-t-il pas que le mal, celui qui est en moi, dans les autres, dans notre société, ce mal n’est pas notre vrai visage ? Il se glisse souvent à notre insu. Le mal sème la zizanie ! C’est d’ailleurs l’origine du nom, en grec, pour l’ivraie, une graine toxique qui a la réputation d’enivrer, de semer la discorde, la mésentente entre des personnes.

A la question des serviteurs : « Veux-tu donc que nous allions l’enlever ? », le maître répond : « Non, en enlevant l’ivraie, vous risquez d’arracher le blé en même temps ». C’est Dieu qui se réserve le jugement à la fin, au temps de la moisson. En attendant, il nous demande de ne pas juger. Il est plus patient que nous. Il supporte momentanément l’ivraie. Nous sommes tous bénéficiaires de cette patience de Dieu. Jésus sait que le bon grain ne périra pas, malgré les craintes légitimes que nous pouvons avoir. A tout être humain, à tout pêcheur, Dieu donne la chance d’un mûrissement possible. Déjà la première lecture, tirée du livre de la Sagesse, disait de Dieu qu’il juge avec indulgence, qu’il nous gouverne avec beaucoup de ménagement. Il nous permet, suivant le message de Notre-Dame de Buglose, de passer de la vase à la lumière.

Alors quelle est la meilleure manière d’éviter de faire le mal ? Il suffit de faire le bien. Tout agriculteur sait que là où le blé monte vite et bien, sa seule vitalité et densité élimine déjà la mauvaise herbe. La statue de Notre-Dame de Buglose a été cachée dans un lieu où on pensait qu’on ne la retrouverait sans doute jamais. Mais le Seigneur a ses desseins, qui nous échappent bien souvent. Lorsqu’elle a été retrouvée l’évêque de Dax voulait la récupérer et il a compris qu’il fallait que cette statue reste ici, dans ce lieu éloigné de tout à l’époque. Faire le bien, ce n’est donc pas uniquement vivre selon nos idées, mais c’est surtout suivre la volonté de Dieu.

Ainsi acceptons de quitter la vase qui est toujours à nos pieds pour aller vers la lumière. Mais pour quitter la vase, il faut que je trouve du sens à mon existence, que celle-ci soit attirée par le bien, par la lumière. Il faut aussi que je puisse durer pour rester dans la lumière, celle de l’Esprit-Saint qui vient au secours de notre faiblesse, nous rappelle la seconde lecture, la lettre de St Paul aux Romains. L’Esprit-Saint intercède pour nous, il ne nous adresse pas une lumière qui éblouit, mais qui indique le chemin de la sainteté. Ce n’est pas en semant la zizanie que je construis un monde de paix et d’amour. La sainteté se trouve dans l’accueil de Dieu, de son esprit. C’est aux moissonneurs d’arracher eux-mêmes l’ivraie, ce n’est pas à nous. Laissons à Dieu le soin de la croissance. Alors au temps du jugement nous savons que Dieu aura les bras ouverts comme ça et que de toutes façons, ce sera comme ça !

Références bibliques : Sg 12, 13.16-19 ; Ps 85 ; Rm 8, 26-27 ; Mt 13, 24-30


Dimanche 12 juillet

Dimanche 5 juillet


Dimanche 14 juin 
Le Saint Sacrement — Année A



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Dimanche 7 juin 
Sainte Trinité — Année A

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mardi 2 juin 
                                                                      Lire les textes du jour
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Lundi 1er juin 
                                                                   Lire les textes du jour
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Dimanche 31 mai
Pentecôte 

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Laudato Si;  5 ans déjà !!!










Textes du jour sur https://www.aelf.org/

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samedi 30 mai

Samedi 30 Mai
« Pierre aperçoit, marchant à leur suite, le disciple que Jésus aimait » ce disciple c’est Jean, qu’on surnomme parfois « le disciple bien-aimé ». Etait-il intime de Jésus ? C’est possible ! Quand on lit l’évangile de Jean on ne peut que constater qu’il a quelque chose de particulier qu’on ne retrouve pas dans Mathieu, Marc et Luc. Dans ce passage, Jean s’identifie à ce « disciple bien aimé » comme étant lui-même témoin privilégié des faits qu’il a mis par écrit dans son évangile. Il n’hésite pas à dire que ce qu’il a écrit est vrai et qu’il a du faire des choix tant il y avait à dire. Cette intimité lui fait écrire cette relation forte du Père et du Fils, comment le Père et le Fils sont en communion profonde. A la suite de Jean nous sommes invités à entrer en quelque sorte en intimité avec Jésus et nous aussi à être témoin de la Bonne Nouvelle. 

Jean Buton


Ps : C'est notre dernier commentaire . Nous vous avons accompagné, prêtres et laïcs, chaque jour depuis le début du confinement. Merci de votre présence, nombreux, sur ce blog.
Nous allons continuer, d'une autre façon à vous accompagner. Bonne fête de Pentecôte  .


vendredi 29 mai
Vendredi 29 mai :

Quelle insistance ! Simon-Pierre est peiné par ces trois questions! Sans doute lui rappellent-elles le souvenir amer de son reniement. Pourtant, ainsi, Jésus restaure Pierre dans toute sa dignité et sa capacité à accomplir la volonté de Dieu. La mission qu'il reçoit devra être exercée selon l'amour que Jésus a vécu jusqu'au don extrême. Dans le " suis-moi " de Jésus, Pierre sait qu'il y a le passage par la croix mais il ne sera plus seul.
Au-delà de nos craintes, nos renoncements, l'amour de Jésus et le don de l'esprit ne peuvent-ils pas nous aider à franchir des montagnes?



jeudi 28 mai 

Commentaire d’évangile du Jeudi 28 Mai
«  Que tous soient un, comme Toi, Père, tu es en moi et moi en Toi pour que le monde croie que tu m’as envoyé. » Ce verset d’évangile est tiré de ce qu’on appelle la prière de Jésus, en quelque sorte, la prière d’adieu à ses disciples avant son arrestation et sa mort. 


mercredi 27 mai
Jésus prie son Père et, parlant de ses disciples, il lui dit : « Le monde les a pris en haine parce qu’ils n’appartiennent pas au monde… » Arrêtons-nous sur ce verset difficile. Ecartons au moins une fausse piste qui nous ferait dire que ceux et celles qui sont en dehors de l’Eglise ne peuvent que nous mépriser voire nous haïr. Mais raisonner ainsi serait s’engager sur la voie du communautarisme ou même du sectarisme.



mardi 26 mai

Mardi 26 mai :
" Glorifie ton Fils afin que ton Fils te glorifie. " Rien à voir avec la gloire recherchée par les hommes pour se hisser sur la plus haute marche du pouvoir, à la première place. La gloire de Jésus et de son Père se manifeste dans l'enfant couché dans la mangeoire, dans l'homme qui mange à la table des pécheurs, qui se met à genoux lavant les pieds de ses disciples. Cette gloire va éclater à cette heure où il va devoir tout quitter, où il sera cloué, dénudé sur la croix.

Lundi 25 mai


Lundi 25 mai
Jésus nous demande d'avoir confiance en lui. Si comme les disciples au début de l’Évangile nous le reconnaissons comme le fils de Dieu alors cette profession de foi ne sera pas vaine, car nous trouverons la paix en lui. Le Seigneur ne promet pas une vie sans souffrance, lui même a souffert, mais une vie où l'important est l'amour de Dieu pour nous.
Ce qui transforme la vie d'un chrétien ce ne sont pas les épreuves mais l’espérance que le Christ est lié à nous avec le Père. Alors courage, Jésus est vainqueur du monde.

Luc Martin, diacre




dimanche 24 mai
Dimanche 24 mai (7 ème dimanche de Pâques) :

Rares sont les occasions dans l’évangile où les disciples sont faits témoins du contenu de la relation privilégiée que Jésus entretient avec son Père: c’est le cas dans le chapitre 17 de Saint Jean.
Jésus arrive à un moment clé de sa vie terrestre et déjà se profilent son arrestation, son jugement, sa mort sur la croix et bien sûr, sa résurrection. Voilà le chemin qui lui vaut d’être glorifié et c’est seulement sur la croix qu’il acceptera d’être appelé Fils de Dieu. Dans ces versets, il dit avoir accompli l’œuvre que son Père lui avait donné à faire et cette œuvre, c’est manifester le nom de Dieu au monde. Il est allé jusqu’au bout de l’amour en donnant sa vie.


samedi 23 mai

Commentaire d’évangile du samedi 23 Mai
«  Ce que vous demanderez à mon Père, en mon nom, il vous l’accordera. » Bien souvent, nous doutons de cette parole de Jésus car nous avons le sentiment de ne pas être exaucés.
 Nous adressons nos prières à Dieu pour des raisons bien diverses : la réussite à un examen, l’amélioration de l’état de santé d’un proche, la fin d’une pandémie, source de tant de souffrances, une réconciliation après des tensions. Etc Et souvent, rien ne change. Alors, cette question : «  Dieu serait-il sourd à nos prières, indifférent aux événements qui affectent nos vies ?





vendredi 22 mai

Vendredi 22 mai :
Au lendemain de l’Ascension où Jésus part vers son Père, nous revenons au discours d’adieu du Christ qui parle aussi de son départ. Celui-ci causera de la peine aux disciples mais Jésus ajoute : « votre peine se changera en joie. »

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jeudi 21 mai
Ascension

Jeudi 21 mai : fête de l’Ascension du Seigneur
" Vous serez mes témoins à Jérusalem dans toute la Judée et la Samarie et jusqu'aux extrémités de la terre. " Quelle confiance Jésus porte à ses apôtres ! Ces hommes qui l'ont abandonné au moment où il avait besoin de leur amitié. Faire confiance à Pierre qui l'a renié ! Mais Jésus avait semé dans leur cœur pendant trois ans sa Parole. Il en faut du temps pour qu'elle germe ! Il faut qu'elle meure pour porter du fruit en abondance. Ils l'ont fait cette expérience : le grain de blé semé en terre qui meurt et qui devient un bel épi. Ils n'en sont pas encore revenu de voir que le crucifié est devenu le ressuscité. " Pendant quarante jours, il leur est apparu, leur a parlé du Royaume de Dieu. "


Mercredi 20 mai

Mercredi 20 mai

« J’aurai encore beaucoup de choses à vous dire, mais pour l’instant vous n’avez pas la force de les porter. » Voilà une expérience humaine que nous faisons souvent.

Mardi 19 mai

Mardi 19 mai
         « Que dois-je faire pour être sauvé ? » demande le geôlier à Paul et Silas dans la première lecture (Livre des Actes des Apôtres). Chacune et chacun de nous se posent ou se poseront un jour cette question : au-delà de la mort, serons-nous sauvés ? La réponse est peut-être dans ce texte : « Crois au Seigneur Jésus ! » Il faut croire en Dieu. Malgré nos faiblesses, nos blessures, nos doutes, nos impuissances, mais aussi avec nos espoirs et nos enthousiasmes, croire n'est-ce pas l'essentiel ? Croire, faire confiance à Dieu en suivant le Christ. Foi et espérance nous rapprochent, chaque jour, du bonheur, de l'absolu. Regardons vers la lumière. Nous serons sauvés.


Lundi 18 mai

Lundi 18 mai :
Dans l’évangile de ce jour, Jésus annonce la venue de l’Esprit de vérité. En effet, après la résurrection, les disciples recevront cette force d’en-haut, l’Esprit Saint. C’est cette force qui pousse Paul sur les chemins de la mission. Dans la première lecture, Paul vient de passer en Grèce et arrive dans la ville de Philippes où il rencontre une femme, Lydie. Paul baptise cette femme et ainsi lui transmet l’Esprit Saint. Mais Paul lui-même reçoit l’Esprit Saint. Il le reçoit de cette même Lydie, de son témoignage. Celle-ci dit en effet qu’il a reconnu sa foi au Seigneur.

Peut-être pouvons-nous reconnaître nous aussi que l’Esprit Saint nous a été donné par ceux et celles dont une parole ou un geste nous ont touchés, dont le témoignage nous a édifiés.
Abbé Patrice Boursier

 dimanche 17 mai

Dimanche 17 mai – 6 ème dimanche du Temps Pascal
Peut-être nous est-il arrivé d'accompagner quelqu'un, dans les jours qui ont précédé son décès. En de tels moments, il confie à sa famille, à ceux qui restent, ce qui lui paraît le plus important ; Il n'y a plus de place pour le superficiel. Et la famille recueille, comme un testament, ses dernières paroles.

nbsp;     
samedi 16 mai


Commentaire de l’évangile du samedi 16 Mai - Jean 15/18-21
« Un serviteur n’est pas plus grand que son maitre » 
C’est la phrase clé de ce passage de Saint Jean. Jésus n’abandonne pas ses disciples. Il leur laisse entrevoir qu’ils partageront son destin et les oppositions qu’il a lui-même rencontrées. Jésus s’est révélé comme le Fils du Père, parole inacceptable pour beaucoup qui rêvaient d’un messie pouvant les libérer d’abord des romains. Quel est le Dieu auquel nous croyons, que nous suivons ? N’avons-nous pas à révéler ce Dieu inattendu venu nous rejoindre en son Fils ?
Abbé Guy Boudaud


vendredi 15 mai

Evangile de Jésus-Christ selon St Jean (15,12-17)
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Mon commandement, le voici : Aimez-vous les uns les autres comme je vous ai aimés. » Comme ;  ce mot peut nous déranger ou être difficile à interpréter… et pourtant, dans ce temps de pandémie, combien sont-ils à avoir donner de leur être sans limite ?




  jeudi 14 mai

Jeudi 14 mai (5 ème semaine du temps pascal)
Jésus nous demande de nous aimer les uns les autres. En ajoutant : « comme je vous ai aimés. » Comme il nous a aimés, c'est-à-dire jusqu’au don de notre vie, pour nos amis mais aussi pour nos « ennemis », ceux, au moins, avec qui il nous paraît difficile de nous entendre. 



mercredi 13 mai
Mercredi 13 mai (5 ème semaine du temps pascal)

La vigne, une belle image, bien connue des juifs : elle parle du rapport de Dieu avec son peuple. Nous sommes les sarments qui reçoivent du cep, la sève, la vie. Rien ne peut nous séparer de celui qui est DON. Tout n'est pas parfait en nous. Nos fruits ne sont pas toujours amour, paix, justice. " Il espérait que sa vigne produirait de beaux raisins, mais elle n'a donné rien de bon " (Is 5,2b). Mais le maître de la vigne sait comment nous pouvons donner du vin qui réjouit notre cœur et qui ravit nos frères. Il livre son fils : "La pierre qu'ont rejetée les bâtisseurs est devenue la pierre d'angle." " Tu veux porter du fruit, me dit Jésus, écoute mes paroles, tu feras la gloire de mon Père. "



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.mardi 12 mai

Mardi 12 mai

Aujourd’hui, c’est : « je vous laisse la paix, je vous donne ma paix… »  Comme si la paix était le cadeau le plus précieux qu’il avait à nous offrir. Oui, la paix est précieuse et fragile à la fois, nous l’expérimentons tous les jours, tant au niveau des relations quotidiennes qu’à l’échelle de notre monde. Elle est comme une petite flamme qu’il faut protéger de la tempête : elle est délicate à construire et à préserver… 



Lundi 11 mai
Lundi 11 mai (5ème semaine du temps pascal) :

Dans ce passage de l'évangile de Jean, Jésus fait une promesse, celle d'être aimés du Père « Celui qui m'aime sera aimé de mon Père » 


Dimanche 10 mai


Dimanche 10 mai 2020   5ème dimanche de Pâques
Jésus dit à ses disciples cette parole mystérieuse : « Je pars vous préparer une place. » Jésus parle en fait de sa mort prochaine. Et il ajoute :« Quand je serai allé vous la préparer, je reviendrai et je vous emmènerai auprès de moi. » 



Samedi 9 mai


Samedi 9 Mai
« Je suis dans le Père et le Père est en moi… » Il y a 2000 ans,  Jésus de Nazareth, un homme en chair et en os, bien réel, un homme qui avait des amis, un homme qui mangeait et buvait comme tout le monde, un homme qui allait mourir…et cet homme au même instant, était en communication avec Dieu et s’identifiait à Dieu. Hier à Philippe, à moi aujourd’hui, il me dit : « croyez ce que je vous dis ! »Et il continue : « celui qui croit en moi accomplira les mêmes œuvres que moi. »Le ciel n’est pas un sucre promis pour plus tard afin de faire passer l’amertume du présent ; il y a un ciel déjà commencé, expérimenté, pour toutes celles et ceux qui font les œuvres de Jésus ; c’est-à-dire une certaine manière de penser, de choisir, de rencontrer Dieu et les hommes, une certaine manière de vivre qui est celle même de Jésus. Des femmes et des hommes qui vivent ça, vous comme moi on en rencontre tous les jours.

Abbé Jean Buton

Vendredi 8 mai

Commentaire du vendredi 8 mai :


« Moi, je suis le chemin, la Vérité, la Vie … » dit Jésus. Sachant sa mort toute proche, Jésus veut préparer ses disciples mais, eux se demandent ce qui va bien pouvoir se passer. Ils ont peur de se retrouver seuls, perdus. Jésus les rassure : « je pars vous préparer une place», et pas n’importe où : « dans la maison du Père ». Si, comme Thomas, il nous arrive aussi de douter, prendre le chemin avec Jésus, ne serait-ce pas aller vers les autres, ne pas avoir peur et lui faire confiance ?

Renée Martineau

Jeudi 7 mai

Commentaire de l’évangile du jeudi 7 Mai Jean 13/16-20

Jésus maître des évènements.
Dans ce passage, comme souvent dans l’évangile de Jean, Jésus se montre maître des événements ce qui n’est pas le cas de ses disciples. Ils sont appelés à intérioriser cette pratique de serviteur et à se préparer à vivre l’arrestation la mort et la résurrection de leur maître. Jésus affirme son identité de Fils de Dieu, d’envoyé du Père. Le lavement des pieds aurait pu se passer d’explication ! Et nous, les disciples d'aujourd’hui avons-nous intégré cette exigence de notre baptême ?

Abbé Guy Boudaud

Mercredi 6 mai
«  Celui qui me voit voit Celui qui m’a envoyé. » Des générations d’hommes et de femmes ont donné le nom de « dieu » à tout ce qu’elles ne pouvaient maîtriser. C’est ainsi que, dans la mythologie, nous découvrons le dieu du vent, le dieu du tonnerre, le dieu de la mer... Etc . Moins l’homme avait la maîtrise de ces éléments et plus, dieu se révélait comme puissant, dominateur.

Mardi 5 mai

Mardi 5 mai (4 ème semaine du temps pascal) :
Commentaire 
Luc Martin
Dans les Écritures, lorsqu'une notion est répétée, c'est qu'elle est importante pour notre compréhension de Dieu. Depuis plusieurs jours, Jésus utilise l'image du pasteur et de son troupeau. Mais pas un troupeau anonyme, un troupeau où chacun est connu (aimé), protégé par son Berger, un troupeau qui se laisse déplacer par sa Parole pour donner un sens à sa vie.
L'image du Pasteur et son troupeau doit nous aider à comprendre avec la tête et avec le cœur ce message extraordinaire : en suivant l'homme Jésus, nous rejoignons Jésus vrai Dieu lié au Père.

Luc Martin

Lundi 4 mai

Commentaire : L'Abbé Alphonse Limousin
Lundi 4 mai (4 ème semaine du temps pascal)



Le berger : un homme qui écoute, protège, conduit sur les bons chemins, les bons pâturages.
Un rabbin écrit : Dieu regarde Moïse s'occupant de son troupeau. 




Dimanche 3 mai
Journée mondiale des Vocations 
dimanche, 4ème Semaine du Temps Pascal — Année A

« Je suis la porte des brebis »
Quelle est drôle cette expression de Jésus pour se définir lui-même : « je suis la porte des brebis ! » Nous savons bien ce qu’est une porte ! Il faut qu’elle soit ouverte ou fermée. On peut se heurter à une porte close. On peu enfoncer des portes ouvertes, ou bien écouter aux portes. On peut chasser quelqu’un en lui ordonnant de « prendre la porte ». On peut claquer la porte au nez de quelqu’un. Et on peut tenir porte ouverte, se tenir sur le seuil de la porte pour accueillir ses visiteurs. Avant d’être un objet qui tourne sur ses gonds, une porte est d’abord une ouverture dans un mur. Elle permet de ne pas être condamné à rester d’un seul côté du mur. Elle permet de passer de l’autre côté.


Samedi 2 mai

Samedi 2 mai (3 ème semaine du temps pascal)

« Cette parole est rude à entendre ! » Même des disciples ne comprennent pas !
Tous en sont restés au merveilleux. Jésus, lui refuse de multiplier les pains à l'infini. Il rejette la tentation : « Que ces pierres deviennent des pains ! » Le pain qui comble les cœurs, c'est sa vie, sa Parole. « Les paroles que je vous dis sont esprit et elles sont vie. "Ouvrons chaque jour notre cœur à sa Parole. « Ma chair, ma vie  est une vraie nourriture ".


Vendredi 1er mai
                                             Commentaire l'Abbé Guy Boudaud

Jean 6/52-59 –Vendredi 1 er Mai
Drôle de fête des travailleurs à un moment où l’on parle surtout de chômage partiel, de peur d’un chômage massif, mais aussi de familles en manque de pain … Dieu n’a pas abandonné son peuple au désert, Jésus lui-même a refusé de renvoyer les foules venues l’écouter contre l’avis de ses disciples, leur disant : « donnez-leur vous-mêmes à manger. » Disciples aujourd’hui, nous sommes face à un double défi : celui de la solidarité. Dans notre société dite évoluée, nous nous sommes habitués à ce que des peuples connaissent la faim. L’autre défi, c’est la prise au sérieux de cette phrase de Jésus « l ‘homme ne vit pas seulement de pain… »

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Jeudi 30 avril
Jeudi 30 avril (3 ème semaine du temps pascal)
                                  Commentaire Abbé Marcel Bidaud
« Je suis le pain vivant. Si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement. » Cette parole de Jésus peut nous apparaître de mauvais goût, précisément en une période où nous n’avons plus la possibilité de nous retrouver en communauté pour vivre l’Eucharistie et partager ce repas qui nous fait vivre. Nous avons une pensée pour les enfants qui, en ces jours, devaient communier pour la première fois.

Mercredi 29 avril

De l’Evangile selon St Mt (11, 25-30)

« Père, Seigneur du ciel et de la terre, je proclame ta louange : ce que tu as caché aux sages et aux savants, tu l’as révélé aux tout-petits. »



Mardi 28 avril

                              
Mardi 28 avril – 3ème semaine du temps pascal
La foule demande à Jésus un signe afin de « le voir et de croire en lui. » Et pourtant, Jésus, après sa résurrection, demandera de « croire sans avoir vu. » En effet, l’apôtre Thomas ne voulait pas croire en la résurrection de Jésus sans avoir vu ses mains et son coté.


Lundi 27 avril


Lundi 27 avril – 3 ème semaine du temps pascal :
                                                    Commentaire Abbé Patrice Boursier
Les foules poursuivaient Jésus mais peut-être bien pour satisfaire des intérêts très égocentrés. Nous ne sommes pas meilleurs. Quand nous demandons quelque chose au Seigneur, qui peut dire qu’il est vraiment désintéressé ? Personnellement, je ne pense pas pouvoir le dire. Dimanche prochain, nous prierons pour les vocations. Même quand nous demandons des vocations, sommes-nous sûrs d’être accordés à la volonté du Seigneur ? Sommes-nous sûrs d’être prêts à accueillir la forme que doit prendre l’Eglise à notre époque, celle que Dieu veut pour nous ? Lui qui nous comble toujours au-delà de nos attentes et souvent de manière déconcertante.




Dimanche 26 avril

DIMANCHE 26 AVRIL 2020 – 3ème dimanche de Pâques
                                             Commentaire Abbé Alphonse Limousin
Deux hommes font route vers un village du nom d'Emmaüs. L'un s'appelle Cléophas, l'autre, on ne sait pas. Peut-être moi ! Vers où vont-ils ? Emmaüs ! C'est où, on ne sait pas. Ils ressassent ces jours ?  dramatiques qui ont vu leurs espoirs s'envoler.

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Samedi 25 avril

Samedi 25 avril – 2 ème semaine de Pâques
                                                 Commentaire Abbé Jean Buton
La 1 ère lecture de ce jour m’a rappelé comment on se disait bonjour au Mali : i ka kénéwa ? traduit ça donne : est-ce qu’il y a la paix en toi ! et on continuait…est-ce qu’il y a la paix dans ta famille, tes enfants…                LIRE LA SUITE  »




Vendredi 24 avril

Commentaire Evangile, vendredi 24 avril, 2° semaine du temps Pascal



La foule suit Jésus car elle avait vu les signes qu’il accomplissait sur les malades.
En donnant à manger à la foule, Jésus accomplit un nouveau signe Messianique (Isaïe 55).
De même que pour nous aujourd’hui, tous sont alors tentés d’ériger ce Jésus de Nazareth comme leur roi, venu les libérer des maux qui traversent l’histoire : la maladie, l’injustice et la guerre.
Alors Jésus se retire seul, nous laissant ordonner dans notre cœur tous les signes et les paroles que nous avons reçus.



       


                     Jeudi 23 avril

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Jésus et Jean le Baptiste
Ce que révèle ce texte, c’est la difficulté de comprendre la place respective de Jésus et de Jean le Baptiste. Celui-ci s’efface devant Jésus, il est le précurseur, il n’est pas le messie. Il est celui qui conduit à Jésus. Il faut maintenant que le précurseur décroisse afin que le Christ commence pleinement son ministère. « Il est celui que Dieu a envoyé, celui qui dit les paroles de Dieu, un Dieu qui lui donne l’Esprit sans mesure ». C’est une clarification nécessaire, le disciple n’est pas plus grand que son maître.





Mercredi 22 avril

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Mercredi 22 avril 2020
                               Commentaire de l'Abbé  Louis-Marie Roy

Evangile de Jésus Christ selon st Jean 3,16-21



« Dieu a tellement aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, il l’a envoyé non pas pour juger le monde, mais pour que, par lui, le monde soit sauvé.







Mardi 21 avril

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«  Naître de l’eau et de l’Esprit » Sous cette formulation, les Pères de l’Église ont très tôt, désigné le baptême. Devenir enfants du même Père, Frères universels en Jésus Christ, animés de l’Esprit du Christ ressuscité :




Lundi 20 avril

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2ème Semaine du Temps Pascal

Nicodème vient pendant la nuit. En ce temps difficile que nous traversons, avec toutes ces nuits de souffrances,de maladie,de solitudes…
Où allons-nous chercher et où trouverons-nous Jésus…

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Dimanche 19 avril

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Dimanche 19 avril 2020
Deuxième dimanche de Pâques
                                          Commentaire Abbé Patrice Boursier
Jésus dit à Thomas : « Heureux ceux qui croient sans avoir vu ! » Et pourtant, Dieu ne nous demande pas une foi aveugle, comme le ferait un gourou, comme on l’exige dans une secte. On ne croit jamais sans voir. Tout simplement parce que, comme le dit saint Jean dans une de ses lettres : « Dieu nous a aimés le premier. » Et Il ne nous aime pas sans nous le montrer. Ce serait absurde. Sans doute est-ce à nous d’ouvrir davantage les yeux de notre cœur pour réaliser tout ce que nous avons reçu du Seigneur, tout ce dont nous avons bénéficié des autres, d’abord de ceux et celles qui nous ont éveillés à la foi.

Samedi 18 avril

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Samedi de Pâques – 18 avril
« Ils refusent de croire. » Croire ce que dit cette femme ! Jamais ! Croire ce que disent ces 2 hommes ! Jamais ! La croix était un échec. Impossible pour eux d’imaginer qu’elle est l’expression du plus grand amour. Combien de fois, Jésus avait dit à ses disciples : « Vous ne croyez pas encore ! » Et pourtant, à ces êtres humains incrédules, Jésus dit : « Allez ! Proclamez mon Évangile au monde entier. » Oui, notre foi est fragile, mais Dieu, lui, croit en nous. « Seigneur, je crois, viens au secours de mes faiblesses. »



Vendredi 17 avril

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Vendredi 17 avril (Vendredi de Pâques)
Les textes de ce jour nous donnent à lire le témoignage de Pierre face aux grands prêtres (Actes), ou lors de la nouvelle « pêche miraculeuse » (Evangile). Pierre dit« C’est le Seigneur ».
Quand Jésus se manifeste à nous, quand il nous appelle à venir à sa suite, sommes-nous prêts à le suivre ?
Notre vie actuelle nous amène à changer en profondeur. Qu'à cette période de « jeûne » succède une démarche de Foi pour retrouver en Eglise la parole de Dieu et que nos actes témoignent de ce changement...


Jeudi 16 avril

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Jeudi de Pâques (16 avril)

Marie Madeleine comme les disciples d’Emmaüs ont le besoin de dire, de raconter…Ils l’ont vu ! Mais pas besoin de continuer à raconter puisqu’il est là au milieu d’eux.



Mercredi 15 avril

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Mercredi de Pâques (15 avril)
NOS  CHEMINS  D’EMMAUS
Attention à ces convictions toutes faites  qui nous empêchent  d’accueillir le Ressuscité. Il se révèle comme celui qui marche à nos côtés, qui nous surprend, nous déroute. Il est celui qui nous aide à relire les évènements que nous vivons et nous apprend à sortir de l’immédiateté. Nous avons des chances de le rencontrer si effectivement nous le cherchons, nous l’appelons pour éclairer notre route. Nos yeux s’ouvrent à sa présence quand nous nous arrêtons pour l’écouter en nous nourrissant de sa parole et de son corps.

            Abbé Guy Boudaud


Mardi 14 avril

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Commentaire des textes du mardi 14 avril 2020, mardi dans l’Octave de Pâques



Jésus appelle Marie-Madeleine : MARIE. Il l’appelle par son prénom. Elle reconnaît son Maître RABBOUNI qui l’a guérie et qu’elle aime pour toujours. Nous savons tous la puissance que cela représente d’être appelé par notre prénom, c’est rejoindre notre identité profonde, notre unicité.
La rencontre avec Jésus ressuscité est un don. Les récits insistent sur le fait que c’est Jésus qui en prend l’initiative. C’est lui qui vient à leur rencontre et les surprend.
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Pour ceux qui ne peuvent plus partir en pèlerinage à Lourdes.

 

Textes du jour sur https://www.aelf.org/

Lundi 13 avril

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Lundi de Pâques (13 avril)


Lorsque nous sommes porteurs d’une bonne nouvelle nous n’hésitons pas à la partager aux personnes avec qui nous vivons. C’est l’expérience qu’ont vécue les femmes qui sont allées au tombeau de bon matin. 




PÂQUES 

Dimanche 12 avril


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Traverser la tempête, à la lumière de Pâques



Lors de la bénédiction «  à la ville et au monde », le Pape François a voulu faire une relecture des événements que nous vivons à partir du récit de la tempête apaisée.









Les commentaires

Samedi Saint 11 avril

Lire les textes de la veillée pascale

Samedi 11 avril 2020 – Veillée pascale :


La Veillée pascale propose plusieurs passages de l’Ancien Testament, le livre des promesses. Jésus, accomplit l’Ancien Testament, accomplit toutes les promesses. Jésus accomplit toutes choses par sa Résurrection.




Vendredi Saint 10 avril

Vendredi saint, jour où nous avons le regard fixé sur la Croix : « Quand j’aurai été élevé de terre, j’attirerai tous les hommes à moi. »
Le Christ est le centre de notre foi. Le Christ en croix, souffrant et expirant livre à tous les hommes cet Esprit reçu de son Père à son Baptême.
Celui que Jean Baptiste avait montré aux disciples : « Voici l’Agneau de Dieu » et qui les avait interrogés alors qu’ils s’étaient mis à le suivre : « Que cherchez-vous ? », c’est lui qui interroge ceux qui l’arrêtent : « Qui cherchez vous ? » - Jésus de Nazareth !  - et lui de dire : « C’est moi » - « Je suis ». Entre la 1 ère rencontre avec 2 disciples et son arrestation, Jésus par ses actes a révélé qui il était : « Je suis la lumière du monde. Je suis le pain vivant. Je suis le berger. Je suis la porte. Je suis la Vigne. Je suis la résurrection et la Vie. Je suis le chemin, la vérité et la vie. »



Célébration à Notre Dame de Paris : https://youtu.be/2QjFAYgmvcI


Jeudi Saint 9 avril

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Il est parfois des gestes, des événements qui nous stupéfient, ou nous font ouvrir de grands yeux : rappelez-vous ce gendarme Arnaud Beltrame qui prend la place d’un otage et se fait tuer, un geste qui bouscule plein de choses. Il y a aussi des gestes chocs plus près de nous ! Tous les jours les infos nous donnent des gestes forts de solidarité, de don de soi, des gestes héroïques de soignants ou de non soignants. Comme vous j’ai été témoin de gestes de pardon, j’ai vu des gestes de partages, des gens s’engager, des gestes fous au premier abord.


Mercredi Saint 8 avril

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Evangile selon saint Matthieu 26/14-25
La préparation de la Pâque
Une chose surprenante dans cet évangile : le fait que les disciples n’accablent pas Judas. A l’annonce de sa trahison, chacun se sent interrogé : « serait-ce moi Seigneur ? » Qu’en est-il de nos propres infidélités ? Dans ce texte aussi une mise en valeur de l’importance de la Pâque, de ce repas partagé par Jésus avec ses disciples : « c’est chez toi que je veux célébrer la Pâque… » Tel est le message dont les disciples sont porteurs. Jésus en cette semaine sainte s’invite chez nous ; saurons –nous le reconnaître et l’accueillir ?

Mardi Saint 7 avril


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Mardi Saint (Evangile de Jésus-Christ selon saint Jean)
A table…
Que de repas partagés en famille où chacun à sa place… L’Evangile de ce jour, nous présente les douze disciples, rassemblés autour de Jésus où chacun à sa place, ses responsabilités. Ils sont à l’écoute ; mais ils ont du mal à comprendre ce que Jésus leur Maître leur révèle : sa vraie identité. « Maintenant le Fils de l’homme est glorifié, et Dieu est glorifié en Lui… »


Lundi Saint 6 avril


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Lundi Saint (Jean 12, 1-11)
Marie répand du parfum sur les pieds de Jésus. C’est déjà la préfiguration de son
ensevelissement pour lequel les femmes utiliseront des aromates.





Dimanche 5 avril

Dimanche des Rameaux


Lire les textes du jour 

Les rameaux : une fête qui a une double saveur : elle est joyeuse et douloureuse. Elle est joyeuse car nous célébrons, Jésus, le Seigneur, qui entre à Jérusalem, acclamé par ses disciples et la foule comme « le fils de David, celui qui vient au nom du Seigneur ».



Samedi  4 avril

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Le commentaire de l' abbé Abbé Jean Buton

Quand on regarde aux infos ces rues complètement vides…quand on accepte l’interdiction de tout rassemblement on mesure la gravité du moment…Alors on invente : des orchestres voient le jour de balcon en balcon ; les gens d’un immeuble suivent un cours de gym qui devient collectif ; à 20h00, on
applaudit, on chante, on tape sur des casseroles pour dire merci aux soignants. 


Vendredi 3 avril

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«  Si je fais les œuvres de mon Père, même si vous ne croyez pas en moi, croyez les œuvres. »
De plus en plus, l’hostilité se manifeste entre Jésus et les Juifs au point de lui lancer des pierres pour le lapider. Ils se refusent à croire en Jésus, comme Fils de Dieu, envoyé du Père.


Jeudi 2 avril

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                                   Le commentaire de Gilles Piffeteau diacre


« Si quelqu’un garde ma parole, jamais il ne verra la mort. » Nous voyons bien dans ce texte de St Jean la difficulté de Jésus à faire comprendre à son auditoire qui il est. A faire comprendre qu’il est le verbe de Dieu… « Je suis ». La PAROLE de Dieu, qui rejoint la parole des prophètes, des apôtres, la parole des hommes… 


Mercredi 1er avril


« Dieu fait de nous en Jésus-Christ des hommes libres », chantons-nous parfois. Dans l’évangile de ce jour, Jésus est à nouveau confronté à des « Juifs qui croyaient en lui » mais qui étaient enfermés dans une pratique religieuse faite de lois et de commandements, une pratique où l’amour n’avait plus guère de place. Ils ne pouvaient donc pas comprendre la liberté dont leur parlait Jésus. Ils en étaient restés à une foi humaine, basée sur l’homme, « Notre Père Abraham. » Jésus insiste sur la véritable liberté à savoir celle de vivre dans l’amour même de Dieu qui est vie d’amour, de justice, de paix, d’amour, de pardon.



Mardi 31 mars


Plus Jésus s’avance vers sa Passion, plus il nous révèle qui il est. Jésus dévoile sa proximité inouïe avec Dieu qu’il appelle « mon Père ». Proximité telle que Jésus se présente en disant : « JE SUIS. »



Lundi 30 mars

Le récit de la femme adultère nous offre une immersion narrative dans la miséricorde de Dieu. Nous sommes tour à tour les personnages de cette histoire :le peuple venant écouter Jésus, les Pharisiens condamnant le péché d'une autre personne et bien sûr la femme adultère elle-même, consciente d'avoir à vivre avec le poids de ses propres fautes. ....





Samedi 28 mars



Qui est Jésus pour moi ? (Jean 7, 40-53)
Lorsque nous relisons ce passage de saint Jean, nous nous apercevons qu’il a toujours été difficile de croire vraiment en Jésus. Déjà du temps de Jésus les gens étaient divisés à son sujet   .... 


Vendredi 27 mars

Le monde est bouleversé ! La planète paniquée ! Et tout cela à cause d’un tout petit virus, insaisissable, qui attaque aussi bien les riches que les pauvres, qui traverse les frontières « sans montrer ses papiers ». 




Jeudi 26 mars 
notre implication dans le service des hommes, spécialement les plus précaires, pour bâtir un monde plus fraternel, plus solidaire, donnent à voir un Dieu qui veut faire de notre terre « la maison commune » comme aime l’appeler le Pape François, une maison commune habitable pour tous ?

Mercredi 25 mars 
ANNONCIATION (Luc 1,26-38)
Le commentaire de l'abbé Alphonse Limousin
  ... Regardons autour de nous les signes de ce don vécu par bien des hommes et des femmes d’aujourd’hui, des signes qui témoignent d’une vie nouvelle.
« Je suis la servante du Seigneur. » Que sera demain ? Marie n’en sait rien. Elle cherchera dans chaque événement à découvrir ce que Dieu attend d’elle : « Marie réfléchissait en son cœur sur toutes ces choses. » (Lc 2, 51b).
   Dieu nous fait signe dans ces événements que nous vivons ; soyons ajustés à sa volonté.


Mardi 24 mars
Le commentaire de l’abbé Patrice Boursier :
Jésus guérit cet homme à la piscine de Bethzatha. Etrangement, il commence par demander à celui
qui est malade depuis 38 ans, s’il désire être guéri ? L’homme aurait pu répondre : « Quelle question ! » Ainsi, Jésus nous encourage à lui confier nos souffrances, nos inquiétudes voire nos révoltes. N’hésitons pas, particulièrement, en cette période éprouvante, à les exprimer au Seigneur et aussi entre nous. Dieu nous exauce, souvent autrement que ce que nous attendons mais jamais en deçà, toujours au-delà.