Toussaint 2023
(Vous pouvez télécharger le livret)
Avent dans la ville
Prions pour l’Église de France avec Sainte Catherine de Sienne
L’Église de France vit une succession de crises provoquées par la révélation des abus. Des jeunes, des personnes en situation de dépendance psychologiques ou spirituelles ont été trahi, violentés, traumatisés par des prêtres. On apprend maintenant que des évêques ont eu un comportement déplacé ou pire. Les fidèles découvrent ces agissements avec effroi, honte et incompréhension. La confiance envers les pasteurs est ébranlée.
En ce début d’avent, nous vous proposons de prier avec nous pour l’Église. « La vérité rend libre » Jean 8, 32. Prier l’Esprit Saint pour qu’elle garde sa vocation d’annoncer le Christ qui rend libre, pour qu’elle soit le sel de la terre, pour qu’elle retrouve l’élan missionnaire et qu’elle rayonne par la sainteté de tous les baptisés.
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Du lundi 28 novembre au mardi 6 décembre 2022, vous recevrez, chaque jour dans votre mail de méditation de la retraite de l’avent, le lien vers la prière de neuvaine.
En grande communion dans la foi et l’amour. L’Église a besoin de notre prière !
frère Philippe Verdin, op
Visitez >>> LE MOOC NOUVEAU : Le MOOC revient prochainement lorsque nous sommes empêchés de communier sacramentellement
Prière inspirée de St Alphonse de Liguori
Seigneur Jésus, je crois en ta présence dans le Saint Sacrement. Je t’aime plus
que toute chose et je désire que tu viennes aujourd’hui encore en mon âme.
Comme bien d’autres chrétiens dans le monde, je ne peux te recevoir
sacramentellement aujourd’hui dans mon Cœur.
Eloigné(e) de ma communauté, ou en attente de Prêtre, je suis pourtant avec chacun de mes frères et sœurs, disponible aujourd’hui à Ta Parole.
Je sais que Tu es là, véritablement présent, à l’écoute de la clameur du monde.
Viens me visiter spirituellement.
Viens me parler comme à chacun de tes amis.
Tiens-moi dans la communion de tous les saints.
Tiens-moi uni(e) à toute l’Eglise du ciel et de la terre
Je veux m’unir à toi tout entier(e). Ne permets pas que je sois séparé de toi.
Amen.
- JOURNÉE MONDIALE de PRIÈRE des FEMMES : Cette journée est la plus grande initiative œcuménique de femmes chrétiennes de toutes traditions, elle est célébrée chaque année dans plus que 170 pays. Vous êtes – toutes et tous -, invités le vendredi 4 mars à 18h30 en l'église des ESSARTS. Un temps de prière préparé, cette année, par les femmes d’Angleterre, du Pays de Galles et d’Irlande du Nord.
===================================Jésus avait 7 ou 8 ans et demanda à sa mère : « Maman, raconte-moi l’histoire desmages et de l’étoile. » Elle lui fit une longue réponse, selon sonhabitude d’enseigner son fils quand Joseph était occupé par des clients. –Prenez patience frères et sœurs : Marie a beaucoup de choses à nous dire,car elle méditait tout en son cœur. – Marie commença ainsi : « Ecoutebien, mon fils, c’est une histoire vraie. Tu étais tout petit, et nous étionsencore, ton père et moi, à Bethléem. Voici que frappent à la porte des mages.Ils venaient de très loin, du pays où le soleil se lève, du pays d’Abrahamnotre père, à qui Dieu, à cause de sa foi, a promis une descendance aussi vasteque les étoile du ciel (Gn 26,4). C’étaient des grands savants, et dans leciel, ils ont vu une étoile, signe d’un événement cosmique. Peut-être ont-ilseu un songe, une révélation… Ils avaient lu dans nos écrits les plus anciens,la Tora, l’histoire de Balaam, le prophète païen comme eux, qui avait annoncéqu’une étoile se lèverait en Israël, un roi qui dominerait des peuples nombreux(Nb 24,7.17)… Ils sont partis dans la nuit, sur le sentier d’Abraham, pourhonorer le roi des Juifs. Ils représentaient le désir de Dieu, de la part detoute l’humanité… Arrivés à Jérusalem, ils sont parvenus aux conclusions deleurs recherchent en consultant les spécialistes des Ecritures Saintes :le roi des Juifs - que nous appelons, nous, Messie, ou Christ - devait naître àBethléem, la cité de David. – Ton père Joseph est descendant de David. Et àcause du recensement impérial, nous étions à Bethléem quand tu es né. –Aussitôt, les mages sont venus chez nous sans hésitation, car l’étoile leurétait à nouveau apparue. Sans se scandaliser de la bassesse du lieu et de notrecondition sociale, ces étrangers t’ont adoré comme roi et Créateur des étoiles.Ils ont offert leurs présents : l’or, l’encens et la myrrhe… Ils étaientmagnifiques ces mages, vêtus comme des rois. Ils jubilaient de joie, parce quedans les ténèbres de notre époque, ils t’avaient reconnu comme la vraie étoile,le vrai soleil, le Lumière du monde, le Fils de Dieu… Et moi aussi je jubilais,car je me souvenais de l’oracle d’Isaïe sur Jérusalem (1ère lect., Is 60, 1-6)…et nous formions à ce moment-là, nous et les mages avec toi, la nouvelle Jérusalem,remplie de la gloire du Seigneur. Isaïe voyait ce jour quand ils’écriait :
… sur toi se lève le Seigneur, sur toi sa gloire apparaît.Les nations marcheront vers ta lumière, et les rois, vers la clarté de ton aurore.(…) vers toi viendront les richesses des nations(…) Tous les gens de Saba viendront, apportant l’or et l’encens,ils annonceront les exploits du Seigneur.
Voilà la grande manifestation, l’Epiphanie du Seigneur : ces mages, étrangers àl’Alliance de Dieu, ont été conduits par Dieu jusqu’à toi, mon fils, lumière dumonde. Ces mages étrangers, et non les théologiens de Jérusalem, ont ouvert noscœurs à l’espérance, car au-delà de leur démarche personnelle, ilsreprésentaient les nations qui ne connaissent pas le vrai Dieu et son FilsJésus Christ, ils représentaient tous les peuples qui « marcheront vers taLumière ».
Et toi, mon fils, tu jubilais aussi : tu t’es mis à gazouiller… et tu leur as ouvertles bras, tu ouvrais tes bras au monde entier… Eux, ensuite, rassérénés etfortifiés, sont partis proclamer la merveille aux peuples qui ne teconnaissaient pas. »
====================Il y a un lien à faire entre l’Eucharistie et les personnes fragiles.
Il faut qu’elle soit brisée pour qu’elle porte du fruit, qu’elle laisse jaillir la vie à l’image des brisures de nos vies… Si vous dites que vous aimez l’Eucharistie et pas les plus fragiles, les pauvres, vous n’aimez pas l’Eucharistie. Les brisures de vie de ces personnes sont le lieu de la présence du Christ, comme l’hostie brisée.Père Christian Mahéas curé de Saint-Jean-Baptiste de Belleville (Paris), membre de l’Arche et conseiller spirituel de l’OCH.
"Jésus, Viens demeurer en nous et dans nos communautés Comme Tu as demeuré d’abord en Marie.Elle fut la première à t’accueillir en elle.Aide-nous à être toujours debout, avec elle, au pied de la Croix, Proche des crucifiés de notre monde …"
"Extrait de la prière de Foi et Lumière"
Un itinéraire de foi et de fréquentation de l’adoration eucharistique
Je vais vous raconter mon histoire et la joie que j’ai, maintenant depuis 4 ans de m’être réconcilier avec le Christ.
J’ai grandi dans un environnement familial où mes croyances étaient principalement basées sur la religion chrétienne mais aussi sur des pratiques de sorcellerie qu’un ami de mes parents d’origine africaine exerçait. Vers l’âge de mes 6 ans, ma mère m’a présenté cet homme comme étant être : « un intermédiaire de Dieu ».
Pour ma mère, Dieu avait mis sur le chemin de mes parents cet homme pour les aider à
surmonter leurs problèmes. Mes parents versaient une somme d’argent à cet homme en contrepartie de nous assurer une sécurité et de veiller sur nous. Je croyais en Dieu et à Jésus, mais lorsque j’accompagnais mes parents à la messe ou lisait un extrait de la bible illustrée pour enfant, je sentais quelque chose, comme une petite voix à l’intérieur de moi, qui m’empêchait de me concentrer. Cette petite voix me disait que c’était inutile de prier et de penser à Dieu car l’ami de mes parents faisait le travail à notre place.
En 2012, l’année de mes trente ans, j’ai eu comme une révélation. J’avais compris que depuis mon enfance, j’avais été sous l’emprise de cet homme. En effet, je n’avais aucune liberté de pensée. Par exemple, lorsque j’avais des choix personnels ou professionnels (mon orientation scolaire), je me fiais à l’opinion de cet homme.
Suite de cette prise de conscience d’avoir été manipulé pendant toute mon enfance et de mon adolescence, j’ai préféré prendre du recul vis à vis de ma famille en coupant les liens avec eux. Je ne comprenais plus ma mère. Ne sachant plus à qui je devais faire confiance et qui croire, j’ai, aussi rejeté l’église. Ainsi, les cinq années qui ont suivi, je me suis fiée qu’à mon propre instinct. Mais, très vite, je me suis aperçu qu’il n’était pas possible de vivre sans avoir une croyance. Pour cela, je me suis beaucoup rapprochée de la science. Je passais tous mes temps libre à me documenter dans des livres pour obtenir des réponses à mes questions sur le sens de ma vie.
Mais, un jour du mois de février 2017, j’étais plongée dans mes réflexions et au moment où j’ai trouvé une réponse à mes questions, j’ai entendu une voix me dire : « tu comprends mieux ce qui se passe maintenant ? » C’était une voix de femme. À partir de ce moment-là j’ai compris que sans l’aide de Dieu, il me sera impossible de trouver des réponses à mes questions.
Quelques jours plus tard, j’ai entendu de nouveau cette voix me dire: « Va à l’église ».
Rapidement, je suis allée à l’église Saint Louis à La Roche Sur Yon. Après avoir rencontré un prêtre, j’ai peu à peu fait la connaissance des paroissiens. J’ai assisté à plusieurs rencontres dont les jeunes pro, qui m’ont parlé, par la suite, de l’adoration.
Au départ, je n’osais pas aller toute seule à l’adoration et je n’ai pas osé le dire. J’attendais qu’une amie vienne avec moi. L’adoration se passe dans une petite chapelle où est exposé le tabernacle. C’est un lieu de silence où chacun peut prier et se confier à Dieu. Très vite, j’ai compris que ce lieu est une opportunité de passer un moment unique avec nous-même, avec notre esprit saint. À chaque fois que je me rends à l’adoration, c’est pour remercier le Seigneur mais, c’est aussi le moment de lui confier mes pensées. Contrairement à ce que j’ai vécu dans mon enfance, où malheureusement cet homme, avec un simple regard ou une parole pouvait m’influencer sur mes décisions, le Christ, quant à lui, m’écoute et ne porte aucun jugement. En effet, quand je dois prendre une décision, je n’ai personne en face de moi, qui pourrait me faire douter ou me réconforter dans mes choix. Je comprends quand l’église dit que le seigneur nous laisse libre. En effet, en présence du Seigneur, nous gardons notre liberté de pensée et nous sommes libres de suivre notre propre instinct, guidé avec l’aide de Dieu, par l’esprit sain.
Lorsque qu’une paroissienne m’a dit : « il faut toujours veiller à avoir une présence à l’adoration afin de ne pas laisser Jésus tout seul », j’ai eu comme un déclic. L’adoration à la Roche sur Yon est perpétuelle : il y a toujours une présence
24h/24 et 7 jours sur 7. Je me suis inscrite pour faire une heure par semaine, la même heure. C’était mon rendez-vous avec le Christ. Puis, le bonheur d’avoir une adoration ouverte et accessible à tout moment permet d’y aller prier quand on le souhaite.
L’adoration permet de me déconnecter de la vie quotidienne. Nous ne sommes pas dérangés par les bruits extérieurs et intérieurs de notre maison. Nous sommes face au Christ pendant une heure et c’est notre temps à nous. Aujourd’hui, Dieu est ma source, mon seul point de repère. Le fait de le retrouver sur le temps d’adoration est un vrai bonheur.
Annie
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Messe en direct diffusée sur KTO célébrée par le pape au Vatican chaque matin à 7H00
Ou sur les chaines de TV internet
Ou France 2 : Le jour du Seigneur
Prions pour l’Église de France avec Sainte Catherine de Sienne
L’Église de France vit une succession de crises provoquées par la révélation des abus. Des jeunes, des personnes en situation de dépendance psychologiques ou spirituelles ont été trahi, violentés, traumatisés par des prêtres. On apprend maintenant que des évêques ont eu un comportement déplacé ou pire. Les fidèles découvrent ces agissements avec effroi, honte et incompréhension. La confiance envers les pasteurs est ébranlée.
En ce début d’avent, nous vous proposons de prier avec nous pour l’Église. « La vérité rend libre » Jean 8, 32. Prier l’Esprit Saint pour qu’elle garde sa vocation d’annoncer le Christ qui rend libre, pour qu’elle soit le sel de la terre, pour qu’elle retrouve l’élan missionnaire et qu’elle rayonne par la sainteté de tous les baptisés.
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En grande communion dans la foi et l’amour. L’Église a besoin de notre prière !
frère Philippe Verdin, op
- JOURNÉE MONDIALE de PRIÈRE des FEMMES : Cette journée est la plus grande initiative œcuménique de femmes chrétiennes de toutes traditions, elle est célébrée chaque année dans plus que 170 pays. Vous êtes – toutes et tous -, invités le vendredi 4 mars à 18h30 en l'église des ESSARTS. Un temps de prière préparé, cette année, par les femmes d’Angleterre, du Pays de Galles et d’Irlande du Nord.
Un itinéraire de foi et de fréquentation de l’adoration eucharistique
Je vais vous raconter mon histoire et la joie que j’ai, maintenant depuis 4 ans de m’être réconcilier avec le Christ.
J’ai grandi dans un environnement familial où mes croyances étaient principalement basées sur la religion chrétienne mais aussi sur des pratiques de sorcellerie qu’un ami de mes parents d’origine africaine exerçait. Vers l’âge de mes 6 ans, ma mère m’a présenté cet homme comme étant être : « un intermédiaire de Dieu ».
Pour ma mère, Dieu avait mis sur le chemin de mes parents cet homme pour les aider àsurmonter leurs problèmes. Mes parents versaient une somme d’argent à cet homme en contrepartie de nous assurer une sécurité et de veiller sur nous.
Je croyais en Dieu et à Jésus, mais lorsque j’accompagnais mes parents à la messe ou lisait un extrait de la bible illustrée pour enfant, je sentais quelque chose, comme une petite voix à l’intérieur de moi, qui m’empêchait de me concentrer. Cette petite voix me disait que c’était inutile de prier et de penser à Dieu car l’ami de mes parents faisait le travail à notre place.
En 2012, l’année de mes trente ans, j’ai eu comme une révélation. J’avais compris que depuis mon enfance, j’avais été sous l’emprise de cet homme. En effet, je n’avais aucune liberté de pensée. Par exemple, lorsque j’avais des choix personnels ou professionnels (mon orientation scolaire), je me fiais à l’opinion de cet homme.
Suite de cette prise de conscience d’avoir été manipulé pendant toute mon enfance et de mon adolescence, j’ai préféré prendre du recul vis à vis de ma famille en coupant les liens avec eux. Je ne comprenais plus ma mère. Ne sachant plus à qui je devais faire confiance et qui croire, j’ai, aussi rejeté l’église. Ainsi, les cinq années qui ont suivi, je me suis fiée qu’à mon propre instinct. Mais, très vite, je me suis aperçu qu’il n’était pas possible de vivre sans avoir une croyance. Pour cela, je me suis beaucoup rapprochée de la science. Je passais tous mes temps libre à me documenter dans des livres pour obtenir des réponses à mes questions sur le sens de ma vie.
Mais, un jour du mois de février 2017, j’étais plongée dans mes réflexions et au moment où j’ai trouvé une réponse à mes questions, j’ai entendu une voix me dire : « tu comprends mieux ce qui se passe maintenant ? » C’était une voix de femme. À partir de ce moment-là j’ai compris que sans l’aide de Dieu, il me sera impossible de trouver des réponses à mes questions.
Quelques jours plus tard, j’ai entendu de nouveau cette voix me dire: « Va à l’église ».
Rapidement, je suis allée à l’église Saint Louis à La Roche Sur Yon. Après avoir rencontré un prêtre, j’ai peu à peu fait la connaissance des paroissiens. J’ai assisté à plusieurs rencontres dont les jeunes pro, qui m’ont parlé, par la suite, de l’adoration.
Au départ, je n’osais pas aller toute seule à l’adoration et je n’ai pas osé le dire. J’attendais qu’une amie vienne avec moi. L’adoration se passe dans une petite chapelle où est exposé le tabernacle. C’est un lieu de silence où chacun peut prier et se confier à Dieu. Très vite, j’ai compris que ce lieu est une opportunité de passer un moment unique avec nous-même, avec notre esprit saint. À chaque fois que je me rends à l’adoration, c’est pour remercier le Seigneur mais, c’est aussi le moment de lui confier mes pensées. Contrairement à ce que j’ai vécu dans mon enfance, où malheureusement cet homme, avec un simple regard ou une parole pouvait m’influencer sur mes décisions, le Christ, quant à lui, m’écoute et ne porte aucun jugement. En effet, quand je dois prendre une décision, je n’ai personne en face de moi, qui pourrait me faire douter ou me réconforter dans mes choix. Je comprends quand l’église dit que le seigneur nous laisse libre. En effet, en présence du Seigneur, nous gardons notre liberté de pensée et nous sommes libres de suivre notre propre instinct, guidé avec l’aide de Dieu, par l’esprit sain.
Lorsque qu’une paroissienne m’a dit : « il faut toujours veiller à avoir une présence à l’adoration afin de ne pas laisser Jésus tout seul », j’ai eu comme un déclic. L’adoration à la Roche sur Yon est perpétuelle : il y a toujours une présence
24h/24 et 7 jours sur 7. Je me suis inscrite pour faire une heure par semaine, la même heure. C’était mon rendez-vous avec le Christ. Puis, le bonheur d’avoir une adoration ouverte et accessible à tout moment permet d’y aller prier quand on le souhaite.
Aujourd’hui, Dieu est ma source, mon seul point de repère. Le fait de le retrouver sur le temps d’adoration est un vrai bonheur.
Annie
Ou France 2 : Le jour du Seigneur
Le pape François lancera ce samedi 1er mai un marathon de prière afin de demander à Dieu la fin de la pandémie. Il doit durer un mois et passer par une trentaine de sanctuaires à travers le monde. Voici comment y participer.: Lien
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CONTE DE PÂQUES : LA BELLE HISTOIRE DU GRAIN DE BLÉ
► Télécharger la Belle histoire du grain de bléD’après le poète danois JOERGENSEN
Le petit grain de blé est heureux, tout heureux, bien au chaud dans un gros tas de blé, tout au fond du grenier, juste un petit courant d’air qui permet de bien respirer ; jamais une goutte de pluie pour mouiller le tas de blé. Les autres petits grains sont très gentils, très polis, ce sont de très bons amis.
Aussi, quand il fait sa prière, le petit grain de blé remercie le Seigneur : « Merci, mon Dieu, je suis tellement heureux, que je voudrais que ça dure toujours ».
Mais un jour, il y a un grand bruit dans le grenier. Des hommes arrivent, avec de grosses pelles, et notre petit grain de blé, avec tous ses copains, est jeté dans une charrette. Et la charrette démarre, comme une promenade.
Au hasard des secousses, le petit grain de blé voit tantôt un coin de ciel bleu, tantôt des jolies fleurs, tantôt un papillon, ou une coccinelle...C'est vraiment joli, bien plus beau que le grenier.
Bientôt, tout le monde s’arrête, au bord d’un champ bien labouré. Sans ménagement, les hommes jettent le tas de blé dans un coin du champ. ça fait un choc ! Mais c’est frais, c’est bon...Le grain de blé a le temps de faire une petite prière : « Mon Dieu je voudrais bien rester là, dans la fraîcheur, le plus longtemps possible... »
Mais voici que le grain de blé s’enfonce dans la terre...c’est tout noir...c’est humide...le petit grain de blé étouffe...le froid pénètre au plus profond de lui-même. Il fait une dernière prière : « Mon Dieu c’est fini, je vais mourir... »
Mais voici qu’il se passe quelque chose d’extraordinaire ! Le petit grain de blé se sent traversé par une force immense...ça éclate en lui de partout...et voilà qu’il devient une petite pousse de blé, puis une tige, elle monte la tige, elle monte...elle perce la croûte de terre, et elle devient un épi de blé magnifique, avec au moins soixante petits grains de blé ! Et tous ensemble ils disent leur prière : Merci, mon Dieu, c’est toi qui nous donnes la vie ! »
Amen, amen, je vous le dis : si le grain de blé tombé en terre ne meurt pas, il reste seul ; mais s’il meurt, il porte beaucoup de fruit. Jean12, 24
©AELF
« ... La maladie a toujours un visage, et pas qu’un seul : il a le visage de chaque malade, même de ceux qui se sentent ignorés, exclus, victimes d’injustices sociales qui nient leurs droits essentiels. La pandémie actuelle a mis en lumière beaucoup d’insuffisances des systèmes de santé et de carences dans l’assistance aux personnes malades. L’accès aux soins n’est pas toujours garanti aux personnes âgées, aux plus faibles et aux plus vulnérables, et pas toujours de façon équitable. Cela dépend des choix politiques, de la façon d’administrer les ressources et de l’engagement de ceux qui occupent des fonctions de responsabilités. Investir des ressources dans les soins et dans l’assistance des personnes malades est une priorité liée au principe selon lequel la santé est un bien commun primordial. En même temps, la pandémie a également mis en relief le dévouement et la générosité d’agents sanitaires, de volontaires, de travailleurs et de travailleuses, de prêtres, de religieux et de religieuses qui, avec professionnalisme, abnégation, sens de la responsabilités et amour du prochain, ont aidé, soigné, réconforté et servi beaucoup de malades et leurs familles. Une foule silencieuse d’hommes et de femmes qui ont choisi de regarder ces visages, en prenant en charge les blessures des patients qu’ils sentaient proches en vertu de leur appartenance commune à la famille humaine.
PRIÈRE du pape FRANÇOIS
Dieu éternel et tout-puissant, refuge de ceux qui souffrent, regarde avec compassion la détresse de tes enfants atteints par cette pandémie, soulage la douleur des malades, donne la force à ceux qui les soignent, accueille dans ta paix ceux qui sont morts.
En ce temps d’épreuve, accorde à tous le réconfort de ta miséricorde, par Jésus, le Christ notre Seigneur.
Amen.
Tout le monde Te cherche Seigneur,
Particulièrement dans les événements tragiques qui abîment nos vies,
les bouleversent, les malmènent
Tout le monde Te cherche. Où es-Tu ?
Es-Tu un Dieu lointain ? Indifférent à ce qui nous blesse ?
En Jésus, Tu t’es fait proche de chacun.
En Lui Tu as souffert ce que nous souffrons.
Alors, aide-moi à croire, aide-nous à croire
que Tu es le Dieu présent au tout de nos vies.
Et que Toi aussi, sans Te lasser,
Tu nous cherches.
Chantal
Lavoillotte
Un zeste d'espérance en confinement ! - Avent dans la ville 2020
Seigneur et Père de l’humanité,
toi qui as créé tous les êtres humains avec la même dignité,
insuffle en nos cœurs un esprit fraternel.
Inspire-nous un rêve de rencontre, de dialogue, de justice et de paix.
Aide-nous à créer des sociétés plus saines
et un monde plus digne,
sans faim, sans pauvreté, sans violence, sans guerres.
Que notre cœur s’ouvre
à tous les peuples et nations de la terre,
pour reconnaître le bien et la beauté
que tu as semés en chacun
pour forger des liens d’unité, des projets communs,
des espérances partagées. Amen !
Prière chrétienne œcuménique
Notre Dieu, Trinité d’amour,
par la force communautaire de ton intimité divine
fais couler en nous le fleuve de l’amour fraternel.
Donne-nous cet amour qui se reflétait dans les gestes de Jésus
dans sa famille de Nazareth et dans la première communauté chrétienne.
Accorde aux chrétiens que nous sommes de vivre l’Évangile
et de pouvoir découvrir le Christ en tout être humain,
pour le voir crucifié
dans les angoisses des abandonnés et des oubliés de ce monde
et ressuscité en tout frère qui se relève.
Viens, Esprit Saint, montre-nous ta beauté
reflétée en tous les peuples de la terre,
pour découvrir qu’ils sont tous importants, que tous sont nécessaires, qu’ils sont des visages différents de la même humanité que tu aimes. Amen !
Donné à Assise près la tombe de saint François, le 3 octobre de l’année 2020, veille de la fête du ‘‘Poverello’’, la huitième de mon Pontificat.
Franciscus

HOMÉLIE DE LA MESSE DU 19 JUILLET 2020 À BUGLOSE
Le 19 juillet 1838, le bienheureux Père Louis-Edouard Cestac, fondateur des Servantes de Marie, est venu ici à Buglose, demander de l’argent pour son œuvre auprès des filles abandonnées de Bayonne. Il a obtenu cette réponse dans son cœur : « Ne me demande que mon esprit ». Le 19 juillet 1846 il vit ici une grande croix qui lui a été proposée. Le 19 juillet 2020, nous le savons tous, notre humanité est un mélange de bien et de mal, de grâce et de péché, de bon grain et d’ivraie, nous rappelle l’évangile qui vient d’être proclamé. Dans cette basilique, nous célébrons les 400 ans de la découverte de la statue de Notre-Dame de Buglose. Cachée dans les marais pour la protéger des guerres de religion, elle a donc été découverte dans la vase en 1620. Aujourd’hui, elle est dans la lumière de cette basilique qui brille de tous les projecteurs pour cette messe télévisée. C’est ainsi que des générations de pèlerins, comme Saint Vincent de Paul, sont venus ici pour obtenir une grâce de paix et de lumière. Ce sanctuaire constitue un havre d’espérance, d’unité, alors que notre monde semble si souvent divisé.
Les deux semeurs de la parabole de l’évangile ne sont pas à égalité : l’un a semé le bon grain en plein jour, son ennemi la nuit, lorsque les gens dormaient. Jésus ne nous suggère-t-il pas que le mal, celui qui est en moi, dans les autres, dans notre société, ce mal n’est pas notre vrai visage ? Il se glisse souvent à notre insu. Le mal sème la zizanie ! C’est d’ailleurs l’origine du nom, en grec, pour l’ivraie, une graine toxique qui a la réputation d’enivrer, de semer la discorde, la mésentente entre des personnes.
A la question des serviteurs : « Veux-tu donc que nous allions l’enlever ? », le maître répond : « Non, en enlevant l’ivraie, vous risquez d’arracher le blé en même temps ». C’est Dieu qui se réserve le jugement à la fin, au temps de la moisson. En attendant, il nous demande de ne pas juger. Il est plus patient que nous. Il supporte momentanément l’ivraie. Nous sommes tous bénéficiaires de cette patience de Dieu. Jésus sait que le bon grain ne périra pas, malgré les craintes légitimes que nous pouvons avoir. A tout être humain, à tout pêcheur, Dieu donne la chance d’un mûrissement possible. Déjà la première lecture, tirée du livre de la Sagesse, disait de Dieu qu’il juge avec indulgence, qu’il nous gouverne avec beaucoup de ménagement. Il nous permet, suivant le message de Notre-Dame de Buglose, de passer de la vase à la lumière.
Alors quelle est la meilleure manière d’éviter de faire le mal ? Il suffit de faire le bien. Tout agriculteur sait que là où le blé monte vite et bien, sa seule vitalité et densité élimine déjà la mauvaise herbe. La statue de Notre-Dame de Buglose a été cachée dans un lieu où on pensait qu’on ne la retrouverait sans doute jamais. Mais le Seigneur a ses desseins, qui nous échappent bien souvent. Lorsqu’elle a été retrouvée l’évêque de Dax voulait la récupérer et il a compris qu’il fallait que cette statue reste ici, dans ce lieu éloigné de tout à l’époque. Faire le bien, ce n’est donc pas uniquement vivre selon nos idées, mais c’est surtout suivre la volonté de Dieu.
Ainsi acceptons de quitter la vase qui est toujours à nos pieds pour aller vers la lumière. Mais pour quitter la vase, il faut que je trouve du sens à mon existence, que celle-ci soit attirée par le bien, par la lumière. Il faut aussi que je puisse durer pour rester dans la lumière, celle de l’Esprit-Saint qui vient au secours de notre faiblesse, nous rappelle la seconde lecture, la lettre de St Paul aux Romains. L’Esprit-Saint intercède pour nous, il ne nous adresse pas une lumière qui éblouit, mais qui indique le chemin de la sainteté. Ce n’est pas en semant la zizanie que je construis un monde de paix et d’amour. La sainteté se trouve dans l’accueil de Dieu, de son esprit. C’est aux moissonneurs d’arracher eux-mêmes l’ivraie, ce n’est pas à nous. Laissons à Dieu le soin de la croissance. Alors au temps du jugement nous savons que Dieu aura les bras ouverts comme ça et que de toutes façons, ce sera comme ça !
Références bibliques : Sg 12, 13.16-19 ; Ps 85 ; Rm 8, 26-27 ; Mt 13, 24-30
Textes du jour sur https://www.aelf.org/
samedi 30 mai

Nous allons continuer, d'une autre façon à vous accompagner. Bonne fête de Pentecôte .

Quelle insistance ! Simon-Pierre est peiné par ces trois questions! Sans doute lui rappellent-elles le souvenir amer de son reniement. Pourtant, ainsi, Jésus restaure Pierre dans toute sa dignité et sa capacité à accomplir la volonté de Dieu. La mission qu'il reçoit devra être exercée selon l'amour que Jésus a vécu jusqu'au don extrême. Dans le " suis-moi " de Jésus, Pierre sait qu'il y a le passage par la croix mais il ne sera plus seul.
jeudi 28 mai
mardi 26 mai


Jésus nous demande d'avoir confiance en lui. Si comme les disciples au début de l’Évangile nous le reconnaissons comme le fils de Dieu alors cette profession de foi ne sera pas vaine, car nous trouverons la paix en lui. Le Seigneur ne promet pas une vie sans souffrance, lui même a souffert, mais une vie où l'important est l'amour de Dieu pour nous.
Ce qui transforme la vie d'un chrétien ce ne sont pas les épreuves mais l’espérance que le Christ est lié à nous avec le Père. Alors courage, Jésus est vainqueur du monde.
Luc Martin, diacre
dimanche 24 mai
samedi 23 mai

Au lendemain de l’Ascension où Jésus part vers son Père, nous revenons au discours d’adieu du Christ qui parle aussi de son départ. Celui-ci causera de la peine aux disciples mais Jésus ajoute : « votre peine se changera en joie. »
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Lundi 18 mai

Dans l’évangile de ce jour, Jésus annonce la venue de l’Esprit de vérité. En effet, après la résurrection, les disciples recevront cette force d’en-haut, l’Esprit Saint. C’est cette force qui pousse Paul sur les chemins de la mission. Dans la première lecture, Paul vient de passer en Grèce et arrive dans la ville de Philippes où il rencontre une femme, Lydie. Paul baptise cette femme et ainsi lui transmet l’Esprit Saint. Mais Paul lui-même reçoit l’Esprit Saint. Il le reçoit de cette même Lydie, de son témoignage. Celle-ci dit en effet qu’il a reconnu sa foi au Seigneur.
Peut-être pouvons-nous reconnaître nous aussi que l’Esprit Saint nous a été donné par ceux et celles dont une parole ou un geste nous ont touchés, dont le témoignage nous a édifiés.
jeudi 14 mai

La vigne, une belle image, bien connue des juifs : elle parle du rapport de Dieu avec son peuple. Nous sommes les sarments qui reçoivent du cep, la sève, la vie. Rien ne peut nous séparer de celui qui est DON. Tout n'est pas parfait en nous. Nos fruits ne sont pas toujours amour, paix, justice. " Il espérait que sa vigne produirait de beaux raisins, mais elle n'a donné rien de bon " (Is 5,2b). Mais le maître de la vigne sait comment nous pouvons donner du vin qui réjouit notre cœur et qui ravit nos frères. Il livre son fils : "La pierre qu'ont rejetée les bâtisseurs est devenue la pierre d'angle." " Tu veux porter du fruit, me dit Jésus, écoute mes paroles, tu feras la gloire de mon Père. "
Aujourd’hui, c’est : « je vous laisse la paix, je vous donne ma paix… » Comme si la paix était le cadeau le plus précieux qu’il avait à nous offrir. Oui, la paix est précieuse et fragile à la fois, nous l’expérimentons tous les jours, tant au niveau des relations quotidiennes qu’à l’échelle de notre monde. Elle est comme une petite flamme qu’il faut protéger de la tempête : elle est délicate à construire et à préserver…



Mardi 5 mai (4 ème semaine du temps pascal) :
Commentaire Luc Martin






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Où allons-nous chercher et où trouverons-nous Jésus…
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Mardi 14 avril
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Lundi 13 avril
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Lundi de Pâques (13 avril)
Dimanche 12 avril
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Traverser la tempête, à la lumière de Pâques
Les commentaires
Samedi Saint 11 avril
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Vendredi Saint 10 avril
Jeudi Saint 9 avril
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Mercredi Saint 8 avril
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Mardi Saint 7 avril
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Lundi Saint 6 avril
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Dimanche 5 avril
Dimanche des Rameaux
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Samedi 4 avril
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Le commentaire de l' abbé Abbé Jean Buton
Quand on regarde aux infos ces rues complètement vides…quand on accepte l’interdiction de tout rassemblement on mesure la gravité du moment…Alors on invente : des orchestres voient le jour de balcon en balcon ; les gens d’un immeuble suivent un cours de gym qui devient collectif ; à 20h00, on
applaudit, on chante, on tape sur des casseroles pour dire merci aux soignants.

Vendredi 3 avril
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Jeudi 2 avril
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Le commentaire de Gilles Piffeteau diacre

« Si quelqu’un garde ma parole, jamais il ne verra la mort. » Nous voyons bien dans ce texte de St Jean la difficulté de Jésus à faire comprendre à son auditoire qui il est. A faire comprendre qu’il est le verbe de Dieu… « Je suis ». La PAROLE de Dieu, qui rejoint la parole des prophètes, des apôtres, la parole des hommes…

Mercredi 1er avril

« Dieu fait de nous en Jésus-Christ des hommes libres », chantons-nous parfois. Dans l’évangile de ce jour, Jésus est à nouveau confronté à des « Juifs qui croyaient en lui » mais qui étaient enfermés dans une pratique religieuse faite de lois et de commandements, une pratique où l’amour n’avait plus guère de place. Ils ne pouvaient donc pas comprendre la liberté dont leur parlait Jésus. Ils en étaient restés à une foi humaine, basée sur l’homme, « Notre Père Abraham. » Jésus insiste sur la véritable liberté à savoir celle de vivre dans l’amour même de Dieu qui est vie d’amour, de justice, de paix, d’amour, de pardon.

Mardi 31 mars
Lundi 30 mars
Le récit de la femme adultère nous offre une immersion narrative dans la miséricorde de Dieu. Nous sommes tour à tour les personnages de cette histoire :le peuple venant écouter Jésus, les Pharisiens condamnant le péché d'une autre personne et bien sûr la femme adultère elle-même, consciente d'avoir à vivre avec le poids de ses propres fautes. ....
Samedi 28 mars
Vendredi 27 mars

Jeudi 26 mars
Mercredi 25 mars
... Regardons autour de nous les signes de ce don vécu par bien des hommes et des femmes d’aujourd’hui, des signes qui témoignent d’une vie nouvelle.
« Je suis la servante du Seigneur. » Que sera demain ? Marie n’en sait rien. Elle cherchera dans chaque événement à découvrir ce que Dieu attend d’elle : « Marie réfléchissait en son cœur sur toutes ces choses. » (Lc 2, 51b).
Dieu nous fait signe dans ces événements que nous vivons ; soyons ajustés à sa volonté.
Mardi 24 mars

qui est malade depuis 38 ans, s’il désire être guéri ? L’homme aurait pu répondre : « Quelle question ! » Ainsi, Jésus nous encourage à lui confier nos souffrances, nos inquiétudes voire nos révoltes. N’hésitons pas, particulièrement, en cette période éprouvante, à les exprimer au Seigneur et aussi entre nous. Dieu nous exauce, souvent autrement que ce que nous attendons mais jamais en deçà, toujours au-delà.