LA VIE DE NOS COMMUNAUTÉS :
retour sur une enquête
En mars dernier, nous proposions une enquête dans nos trois paroisses, enquête à remplir personnellement et portant sur la vie présente et à venir de nos communautés.
Le nombre de réponses (un peu plus d’une centaine) reste modeste, mais on peut au moins faire ressortir ce qui a été exprimé par le plus grand nombre mais aussi par d’autres moins nombreux.
Une grande majorité de personnes se disent heureuses de ce qu’elles vivent dans leur paroisse même si elles sont bien conscientes des fragilités de nos communautés.
Les célébrations sont, la plupart du temps, bien vécues. Pour qu’elles le soient mieux encore, nombreux sont ceux qui souhaiteraient y trouver plus de simplicité, de naturel, de gaieté et de chaleur. Quelques autres demandent à ce que l’on y souligne davantage le sens du sacré. La pandémie a initié, en certains lieux, des accueils aux portes des églises dans le but d’aider au respect des consignes sanitaires. Ceux qui s’expriment sur ce point notent que cela a pu permettre d’échanger avec des personnes que l’on ne connaissait pas et qui se sont senties davantage accueillies. Parfois, cela a été l’opportunité de les impliquer dans la liturgie du jour. Certains aimeraient que l’on retrouve ces occasions d’échanges et de dialogue à la sortie de la messe. Il y a donc à faire pour que les paroissiens habituels aient l’initiative d’aller à la rencontre des personnes nouvelles ou isolées, soit au début des célébrations pour leur proposer une participation concrète, soit à la sortie de l’église pour mieux accueillir et intégrer ceux et celles qui le souhaitent.
Concernant les prêtres, leur disponibilité et leur écoute est appréciée par la plupart. Certains aimeraient qu’ils soient plus au contact des paroissiens, des personnes isolées ou des écoles afin d’y rencontrer les jeunes générations.
L’implication de nombreux fidèles-laïcs est appréciée ainsi que leur collaboration avec les ministres ordonnés, prêtres ou diacres. Bien sûr, on aimerait voir davantage de « jeunes », sans que l’on précise toujours de quelle tranche d’âge on parle.
On sait aussi reconnaître que la plupart de ces fidèles-laïcs sont des bénévoles « de l’ombre ». Comme l’écrit quelqu’un, en parlant des personnes investies dans la liturgie : « On ne les remarque pas toujours sauf quand ils sont absents ! »
Beaucoup de réponses à l’enquête se rapportent à la vie liturgique de nos paroisses. Et pourtant, la mission de l’Église ne se limite pas, loin s’en faut, à cet aspect. Le service de l’humanité doit être un souci constant des chrétiens. Ainsi, quelques sondés ont appelé à être « attentif au besoin du prochain », à « créer des liens avec la mairie, les associations, Emmaüs... pour une Église de service et à l’écoute. » Par ailleurs, il ne faudrait pas hésiter à encourager les baptisés « à se rendre présents auprès des gens isolés ou en souffrance. »
D’autres suggèrent de proposer davantage de temps d’échanges et de formations pour les bénévoles ou plus largement, afin de « continuer à annoncer la Bonne Nouvelle, même avec moins de prêtres » : groupes d’écoute de la Parole de Dieu ; bibliothèque et échange de livres ; rencontres interreligieuses…
Dans le prolongement du désir d’un accueil plus chaleureux pour ceux et celles qui arrivent aux célébrations ou en repartent, se sont exprimées des attentes de moments plus conviviaux au sein des communautés (verre de l’amitié, pique-nique…) et d’une communication plus soignée et plus efficace.
L’enquête voulait offrir la possibilité de s’exprimer sur la vie présente de nos paroisses.
Le nombre de réponses (un peu plus d’une centaine) reste modeste, mais on peut au moins faire ressortir ce qui a été exprimé par le plus grand nombre mais aussi par d’autres moins nombreux.
Une grande majorité de personnes se disent heureuses de ce qu’elles vivent dans leur paroisse même si elles sont bien conscientes des fragilités de nos communautés.
Les célébrations sont, la plupart du temps, bien vécues. Pour qu’elles le soient mieux encore, nombreux sont ceux qui souhaiteraient y trouver plus de simplicité, de naturel, de gaieté et de chaleur. Quelques autres demandent à ce que l’on y souligne davantage le sens du sacré. La pandémie a initié, en certains lieux, des accueils aux portes des églises dans le but d’aider au respect des consignes sanitaires. Ceux qui s’expriment sur ce point notent que cela a pu permettre d’échanger avec des personnes que l’on ne connaissait pas et qui se sont senties davantage accueillies. Parfois, cela a été l’opportunité de les impliquer dans la liturgie du jour. Certains aimeraient que l’on retrouve ces occasions d’échanges et de dialogue à la sortie de la messe. Il y a donc à faire pour que les paroissiens habituels aient l’initiative d’aller à la rencontre des personnes nouvelles ou isolées, soit au début des célébrations pour leur proposer une participation concrète, soit à la sortie de l’église pour mieux accueillir et intégrer ceux et celles qui le souhaitent.
Concernant les prêtres, leur disponibilité et leur écoute est appréciée par la plupart. Certains aimeraient qu’ils soient plus au contact des paroissiens, des personnes isolées ou des écoles afin d’y rencontrer les jeunes générations.
L’implication de nombreux fidèles-laïcs est appréciée ainsi que leur collaboration avec les ministres ordonnés, prêtres ou diacres. Bien sûr, on aimerait voir davantage de « jeunes », sans que l’on précise toujours de quelle tranche d’âge on parle.
On sait aussi reconnaître que la plupart de ces fidèles-laïcs sont des bénévoles « de l’ombre ». Comme l’écrit quelqu’un, en parlant des personnes investies dans la liturgie : « On ne les remarque pas toujours sauf quand ils sont absents ! »
Beaucoup de réponses à l’enquête se rapportent à la vie liturgique de nos paroisses. Et pourtant, la mission de l’Église ne se limite pas, loin s’en faut, à cet aspect. Le service de l’humanité doit être un souci constant des chrétiens. Ainsi, quelques sondés ont appelé à être « attentif au besoin du prochain », à « créer des liens avec la mairie, les associations, Emmaüs... pour une Église de service et à l’écoute. » Par ailleurs, il ne faudrait pas hésiter à encourager les baptisés « à se rendre présents auprès des gens isolés ou en souffrance. »
D’autres suggèrent de proposer davantage de temps d’échanges et de formations pour les bénévoles ou plus largement, afin de « continuer à annoncer la Bonne Nouvelle, même avec moins de prêtres » : groupes d’écoute de la Parole de Dieu ; bibliothèque et échange de livres ; rencontres interreligieuses…
Dans le prolongement du désir d’un accueil plus chaleureux pour ceux et celles qui arrivent aux célébrations ou en repartent, se sont exprimées des attentes de moments plus conviviaux au sein des communautés (verre de l’amitié, pique-nique…) et d’une communication plus soignée et plus efficace.
L’enquête voulait offrir la possibilité de s’exprimer sur la vie présente de nos paroisses.